Developpement Empirium

[Hannibal (22/09/2005 - 24/10/2009)]

La terre trembla à nouveau quand l'un des canons séismes impérial ouvrit le feu en projettant dans les airs un obus d'environ 200 kilos. Une trentaine d'autres batteries simillaires formaient un orchestre tonitruant qui rugissait sa colère et sa haine. Plus loin et plus bas de la colline une centaine de mortiers faisait pleuvoir un déluge de feu et de fer qui traversait rapidement le ciel pour atterrir sur une ville en proie au flamme d'pù parvenaient les échos lointains et étouffés des explosions et déflagration provoquées par l'artillerie impériale. Toute la puissance de l'armement impérial formait une mélodie et une symphonie telle qu'il n'y en avait en enfer. La bannière rouge vif du 1er Vostroyens ornait et surmontait la colline verdoyante sur laquelle avait pris place l'artillerie impériale pour faire pleuvoir l'enfer sur la capitale d'"Albydda". Cette planète n'avait rien fait de mal, elle était juste l'une des plus proche à la zone d'extension de la campagne Némésis...et elle avait également refusé de se rendre en répétant que l'impérium pouvait envoyer autant de soldats qu'elle le désirait ils ne ploieraient pas...leurs voeux étaient exaucés, toute la puissance de l'impérium s'était abbatue sur eux. Il n'avait fallu que quatre jours entre le débarquement des troupes et le siège de la capitale.

Assis sur un la tourelle de son transport "chimère" le colonel Dernöv assistait au bon déroulement des opérations. Il sirotait un des nombreux spiritueux de son mond d'origine à l'aide d'un aspirateur artificiel relié à sa gorge ou plutôt à ce qui avait survécu de sa gorge. Tout son visage n'était plus qu'un masque métallique grâce auquel il respirait et vivait encore. Il avait été gravement brûlé au visage par un "krameur" ork alors qu'il était sergent, il avait gardé de cette blessure une rancune personelle contre les orks. Mais l'heure n'était pas à ça et il le savait, dans une heure il devrait lancer l'assaut épaulé par le 16eme Mordian et le 29eme Colnordiste, plus de 30 000 hommes allaient pénétrer dans la cité pour en déloger les quelques poches de résistance qu'il restait. Un soldat sortit depuis l'écoutille arrière de la "chimère" et interpella le colonel en brandissant une feuille de scriptum qu'il venait de recevoir.

Apparemment l'assaut était retardé d'une demie heure à cause de l'arrivée tardif d'un officier de la 7eme division sauvage. Dernöv marmonna dans sa barbe pour cet imprévu et sauta rapidement les lignes pour tomber sur le nom de l'officier en question. Il faisait partie de l'état-major de la campagne et avait été mainte fois décoré et gratifié par ces supèrieurs. Un officier que le colonel connaissait bien et pour lequel il éprouvait énormément de sympathie étant donné qu'il lui avait sauvé la vie 11 ans plus tôt quand il fut grievement blessé au visage. Le capitaine Hannibal...

[Hannibal (22/09/2005 - 24/10/2009)]

Le transport de troupes "chimère" aux couleurs de l'état-major de la campagne tressautait sur l'herbe avant de s'arrêter devant la colline où le train d'artillerie du 1er Vostroyen faisait pleuvoir la mort sur une cité en proie au flammes une dizaine de kilomètres plus loin. L'écoutille arrière de la chimère s'ouvrit et un officier en treillis noir en sortit suivi d'un aide de camp aux mêmes couleurs. Hannibal respira à fond l'air qui l'entourait pour se débarasser des deux heures qu'il venait de passer dans le transport étouffant. Il se mit finalement à contempler le spectacle qui s'étendait plus loin, des tuiles étaient arrachées aux toits tandis que des immeubles s'effondraient sur eux-mêmes et que de violentes déflagration soulevait des mottes de terre dans les airs en projettant nombre de débris aux alentours. La ville ne s'était pas rendue en conclut Hannibal qui commença à marcher en direction de la tente du PC régimentaire Vostroyen, là deux gardes en factions écartèrent les pans de la tente pour laisser passer hannibal et son aide de camp qui entrèrent sans hésiter. A l'intèrieur un officier arborant le grade de colonel sur les épaules les attendaient, son visage avait été remplacé par un masque artificiel permetant à l'homme caché derrière de survivre. Hannibal n'avait pas besoin de cela pour reconnaître ces vieux amis.

"Colonel Dernöv du 1er Vostroyen à votre service mon capitaine." Salua machinalement le militaire.
"Capitaine Hannibal de la 7eme division sauvage et représenatnt de l'état-major de la campagne Némésis." Lui renvoya son interlocuteur.

Ils restèrent un moment dans la positions du salut avant de se détendre et de sauter dans les bras de l'autre.

"Alors Dernöv le "chasseur d'ork" comment vas tu vieux frère?"
"Autant que toi Hannibal mais je me rappelle que tu n'avais pas cet oeil bionique la dernière fois qu'on s'est vu."
"Rien de bien grave, juste une mission commando qui a tourné au fiasco. Mais dis donc la dernière fois qu'on s'est vu tu était encore un pauvre sergent hésitant et maintenant te voilà colonel...félicitations!"
"Oh juste un coup de chance lors d'une campagne de purge, notre officier supèrieur est mort et j'ai du le remplacer. Apparement j'ai pris les bonnes décisions."

Ils éclatèrent de rire tout en se ressassant de vieux souvenirs qu'ils pensaient avoir oubliés. Il restèrent une quinzaine de minutes à discuter comme de vieux pépés qui se retrouvent sur un banc publique. L'aide de camp d'Hannibal qui était resté debout toussota pour attirer l'attention des deux officiers qui finirent par regarder leur montres.

"Merde si on se dépeche pas on va être en retard pour l'assaut général!" cria Dernöv qui se précipita vers une table couverte de cartes et sur lasuelle reposait un gantelet énergétique couleur bronze, il l'enfila en quatrième vitesse, activa la cellule énergétique et sortit prestemment de la tente en direction des tranchées d'encerclement suivi par Hannibal et son aide de camp. Dernöv saisit un combiné radio et distribua ses ordres aux différents pelotons d'infanterie. Les soldats commençèrent à se préparer et à vérifier leur matériel pour l'assaut. Hannibal suivit Dernöv qui montait dans sa chimère personnelle et qui l'intimmait de monter aussi, le pilonage avait été intensif mais il restait encore quelques ennemis et mieux valait être à couvert dans une bonne vieille et robuste chimère. Hannibal regarda une dernière fois la cité en flamme avant de monter dans le transport...oui cela faisait décidemment longtemps qu'il n'avait pas ressenti de telles émotions.

[Hannibal (22/09/2005 - 24/10/2009)]

Un nouveau pan de mur s'effondra tandis qu'un obus l'avait frappé de plein fouet en disloquant les étais et en délogeant le mortier. L'artllerie impériale ouvrait le chemin à l'infanterie qui se dirigeait vers le centre ville où devait certainement se trouver le gros des dernières forces ennemies. Au milieu de ces décombres fumantes progressait de nombreux pelotons d'infanterie épaulés par plusieurs chars. Le 1er Vostroyens n'avait encore rencontré aucune résistance ennemie que ce fut face aux murs de la ville ou dans les bas quartiers qu'ils venaient de dépasser. L'ennemi s'étaient surement retranché dans des positions plus facilement défendables au centre de la ville. Dernöv, Hannibal et l'aide de camp de ce dernier avaient préférés descendre de leur "chimère" quand ils avaient dépassés les bas quartiers, il était trop difficile de manoeuvrer des véhicules dans les rues en ruines d'une cité de cette taille et il se pouvait que des pièges antichars est étés errigés à l'intèrieur de la ville. Ce genre de théatre d'opération laissaient plutôt envisager de violents corp à corp au millieu des ruines de la ville. Du combat urbain...rien de plus...c'était sûrement le type de combat dans lequel on pouvait perdre le plus d'hommes possible.

Le peloton venait de dépacer un bras de rue pour tomber sur un carrefour désert. Deux soldats s'avançèrent et se plaquèrent contre le bâtiment qui faisait le coin de la rue et tentèrent de déceler la moindre trace de l'ennemi. L'un des soldats portait un lance-flamme, une arme des plus redoutable dans les combats urbains. A première vue le soldat indiquait que la voie était libre et il sortit du couvert mais deux tirs bleutés vinrent s'écraser sur le sol et sur le mur à côté du soldat qui n'attendit pas pour bondir derrière un tas de décombres. Là...les tirs étaient partis depuis les décombres à l'opposé de la rue et qui formaient une barriquade naturelle, Hannibal distingua également du mouvement dans les premiers étages de l'immeuble qui faisait face au carrefour. En un instant les soldats vostroyens s'étaient mis à couvert et se servaient de leurs fusils à canons longs idéals pour les tirs de précision à longues distances. Bientôt l'air fut saturé par les crépitement des lasers rouges vostroyens et les étranges tirs bleutés que tiraient les armes ennemies. Les fenêtres de l'imeubles volèrent rapidement en éclat en projetant des grêles d'échardes de bois et de débris de verre sur leurs occupants qui tentaient de riposter malgré le tir de barrage que leur imposaient les vostroyens. Un des occupants fut touché à la poitrine et tomba en hurlant devant le porche de l'hôtel. Il portait une sorte d'armure blanche avec un casque allongé vers l'arrière du crâne. Il était très différents des soldats vostroyens. Ces derniers portaient un treillis rouge écarlate richement décorés et portaient par dessus une armure lourde faites d'assemblage de parties métalliques permettant de ne pas trop géner le corp dans ses mouvements. Ils portaient également une grande coiffe de fourrure noire qui restait le symbome des régiments vostroyens: "les premiers nés". Ce nom était évocateur pour l'ennemi mais c'était là une erreur. "Premiers nés" ne signifiait pas qu'ils étaient inexpérimentés, c'était juste en rapport avec les traditions martiales de leur monde natal où les cadets de chaque familles devaient servir dans les rangs de la garde impériales, de plus ces "premiers nés" faisaient partis des meilleurs soldats de l'impérium. Dévoués, surentrainés, loyaux et presque fanatiques du culte impérial.

Hannibal cria un ordre à son aide de camp qui lui envoya le lance grenade d'un des cadavres vostroyens. Hannibal vérifia qu'une grenade à fragmentation était bien chargée avant de s'accroupir, de viser et de presser la détente. Le projectile filla droit dans l'une des fenêtres en laissant s'échapper une légère trainée de fumée derrière lui. En une seconde le premier étage de l'immeuble fut vaporisé dans une puissantes déflagration, le deuxième étages commença à se lézarder et finit par s'effondrer sur lui même dans un éboulis de pierres et de fracas de bois. Le danger de l'immeuble était écarté. l'effondrement de ce dernier avait dégagé un important nuage de pussière qui bloqua momentanément les lignes de vue des deux camps. Dernöv rugit un ordre dans son combiné avant de dégainé son propore pistolet laser et de brandir son gantelet énergétique. Tout les vostroyens sortirent alors du couvert, baïonettes aux canons, et se mirent à courrirent au travers du nuage de poussière en direction de la barricade ennemie. Hannibal dégaina son épée énergétique et son pistolet plasma et se mit à suivre les soldats vostroyens dans leur charge...le corp à corp allait pouvoir commencer.

[Hannibal (22/09/2005 - 24/10/2009)]

Le soldat Aun'ty grommelait pour lui même, l'effondrement de l'immeuble avait caché les troupes ennemies dans un épais nuage de poussière et de marbre empéchant toute tentative précise de tir et ils ne pouvaient se permettre de gacher plus de munitions. Le pilonage d'artillerie que la ville avait subit était des plus meurtrier. Le QG n'émettait plus qucun signe de vie et cela faisait plus de deux heures que son unité n'avait pas reçu de transmissions radio. Il devaient suivre à la lettre le dernier ordre qu'ils avaient reçus; tenir la position et repousser l'ennemi, malheureusement le sépot de munition de la ville avait été soufflé par l'artillerie ennemie et ces dernières commençaient à manquer sérieusement. Un bruit attira l'attention d'Aun'ty, ce dernier leva la tête par dessus la barricade et eut juste le temps d'apercevoir un soldat en uniforme rouge vif lui percer la poitrine avec une baïonette. Il tomba en hurlant tandis que son agresseur prenait une décharge bleuté au ventre le faisant tomber à son tour, peu après le tireur fut noyé dans une longue langue de flamme qui carbonisa plusieurs défenseurs tandis que le reste du peloton vostroyen prenait pied sur la barricade et entammait un corp à corp des plus violents.

[Hannibal (22/09/2005 - 24/10/2009)]

Hannibal avait à peine posé le pied sur la barricade que déjà les rales des combattants et les cris des mourrants se répercutaient dans la rue. Les cris étaient ponctués par les bruits de quelques armes à feu que les protagonistes trouvaient encore le moyen d'utiliser et le son et la langue de feu caractérielle des lance flamme embrasaient la scène d'horreur sur laquelle les acteurs jouaient la vie des autres. A gauche un soldat vostroyen percuta un des défenseurs de la barricade, le jeta à terre et d'un coup de crosse bien placé lui brisa la nuque. A quelques mètres de là un autre vostroyen avait sorti son long couteau de combat et l'avait planté dans la tempe droite d'un de ses ennemis en faisait gicler le sang sur son propre uniforme. A droite un des défenseurs acculé contre un mur parvint à se servir de son arme à bout portant et vaporisa le ventre d'un vostroyen dans une décharge bleutée avant de pivoter pour prendre dans l'abdomen l'épée tronçoneuse d'un sergent vostroyen qu'il n'avait pas vu, ses entrailles et viscères arrosèrent le sol tandis qu'il poussait un cri d'agonie rendu étrange par son casque fermé blanc. Un lance-flamme vostroyen cracha son mépris au visage de quatre adversaires qui disparurent en hurlant dans le flot de prométéum enflamé. un défenseur parvint à dépasser le vostroyen et tenta d'asséner un violent coup de crosse à Hannibal qui n'eut aucun mal à dévier le coup et réussit à faire perdre l'équilibre à son adversaire qui s'affala en direction du capitaine. Ce dernier le repoussa d'une décharge de son pistolet plasma qu'il tenait dans la main gauche, le corps sans vie tomba sur le sol avec un énorme trou aux contours cotérisés dans le ventre. Un autre défenseur tira sur hannibal mais il manqua son tir et la décharge passa juste devant le visage du capitaine. Hannibal leva son épée qu'il abbatit sur le tireur, ce dernier eut la rapidité de placer son fusil en travers pour parer le coup mais le champ disrupteur de l'épée énergétique coupa net le fusil en deux avant de pénétrer le casque blanc du soldat en le fendant sur toute la longeur. Hannibal retira son épée en repoussant le cadavre du pied avant de regarder le massacre autour de lui. Un autre soldat vostroyen abbatit d'une décharge laser bien placée un ennemi qui avait tourné les talons pour prendre la fuite. Dernöv aidé de quelques sergents et soldats abbataient les derniers survivants qui s'étaient retrouvés encerclés par les vostroyens. le gantelet énergétique du colonel broyait facilement les os et l'armure des ennemis tandis qu'il se servait de son pistolet laser à cadence de tir maximale pour arroser ceux qui tentaient de fuir. Après quelques instants le silence était retombé sur la barricade hormis les gémissements des soldats vostroyens blessés. La barricade avait finalement était prise et avec de faibles pertes vu le nombre de corps aux uniformes rouges qui jonchaient le sol. Un soldat de liaison radio s'approcha du colonel et lui tendit le combiné de la main gauche, son bras droit étant blessé. Dernöv porta le casque à ces oreilles et ne dit mot alors qu'il recevait les ordres depuis le PC régimentaire de l'état-major de la campagne. il hocha la tête à deux ou trois reprises et finis par racrocher le combiné avant de se tourner vers le reste de ses soldats.

"On continuent les gars!!!"

[Hannibal (22/09/2005 - 24/10/2009)]

Une énième roquette vint s'abbattre sur la facade principal du palais administratif de la capital, coeur et cerveau de cette dernière. De temps à autres les soldats barriquadés à l'intèrieur tentaient des tirs de ripostes en espérant faire quelques morts mais les représailles étaient terribles. L'infanterie impériale s'était déployé tout autour du bâtiment, derrière des barricades de fortune, dans les maisons et immeubles, derrière les blindés... Cela faisait déjà une heure que ça duré, les troupes de la garde impériale auraient aisément put investir le bâtiment et tuer tout ceux qui s'y trouvaient mais ordre avait été donné d'attendre la présence du capitaine hannibal avant la suite des opérations. L'ordre venait de l'intêressé en personne.

Une chimère aux couleurs de l'état-major de la campagne traversa rapidement les rues couvertes de gravats avant de s'arrêter à un carrefour non-loin du palais. Le capitaine Hannibal en sortit ainsi que son aide de camp et le colonel Dernöv. Les officiers approchèrent de la ligne de tir en baissant la tête pour éviter un éventuel tir perdu. Ils s'approchèrent d'un leman-russ à l'arrêt à l'arrière duquel avait étés empilés nombres de sacs de sable afin d'ériger un QG de fortune dans lequel étaient instalés deux hommes aux couleurs du 16eme Mordian ainsi qu'une radio de commandement réglée sur toutes les fréquences de la zone de combat. Les deux hommes se mirent au garde à vous en laissant passer les officiers.

"Quelle est la situation?" Demmanda Hannibal.
"Les soldats ennemis refusent de se rendre malgré la première sommation, nous tirons de temps en temps pour les faire craquer mais il métonnerait qu'ils lâchent l'affaire mon capitaine."
"Très bien lancez leur une dernière sommation et sinon..."

Le capitaine n'avait pas besoin de terminer sa phrase pour qu'on la comprenne, le soldat assis en face de la radio commença à triturer les différentes liaisons impériales pour donner ses ordres. L'un après l'autre les tirs impériaux cessèrent pour laisser place au silence total. Le préposé radio prit le combiné et le porta à sa bouche pour déclarer la dernière sommation impériale. Ses mots furent relayés par les enceintes et gigaphones montés sur le leman-russ, chacun semblait être interminable et les échos métalliques de la voix résonnaient dans les rues alentours pour former une sorte de plainte mécanique.

Hannibal s'attendait à voir les portes du palais s'ouvrir pour laisser sortir une colonne de soldats les mains sur la tête. En vérité il espérait que cela se produise comme tel. ces soldats n'allaient rien gagner à se sacrifier de la sorte, le sacrifice n'est jamais utile et quand bien même ses soldats avaient prouvés leur valeur en tentant de tenir la ville face aux forces impériales. Au lieu de ça un tir bien placé des défenseurs vint exploser une des enceintes du leman-russ. Il y eut un plusieurs secondes de silence avant que les tirs ne reprennent de plus bel. Le préposé radion se tourna vers hannibal en attendant les ordres qu'ils s'apprétait à relayer.

"Lancez l'assaut, prenez ce bâtiment coute que coute...et surtout transmettez bien cela...pas de prisonniers, abbatez les sur place."

Les mots furent prononcés avec une froideur rare même dans la bouche du capitaine. Ce dernier tourna les talons avec son aide de camp en laissant les soldats Mordian et le colonel Dernöv qui rejoignait son peloton pour l'assaut. Hannibal monta dans sa chimère et pria pour que les autres peuples de la galaxie ne soit pas si bornés. Déjà les tirs puissants des leman-russ éclatèrent comme le tonerre avant de s'abbattre sur les murs du palais qui ne tiendrait même pas cinq minutes.