Developpement Empirium

[Merom]

Merom reçut l'information telepathiquement, de nouveaux produits avaient été decouvert dans le vide interstellaire , aucun chercheur n'a trouver la nature de ce materiaux mais ils (les chercheurs) demandent un entretien de toute urgence ..

Merom avide de curiosité , salua Apo et son compagnon et sortit en toute hate ..

[Pavlov]

Il toussota à cause de la vodka.
La vodka a beau être la boisson nationale, j'ai du mal à m'y faire!
Quoique que j'apprécie ce petit arrière-goût de... de je ne sais quoi mais c'est bon. C'est sûrement cette poussière d'étoile. Par contre, le caramel me colle aux canines!
Puisque l'on me le demande, je vais vous raconter la fois où j'ai chassé un caribou...

[Pavlov]

Je flairais dans des sous-bois avec ma meute. Le soleil venait de se lever. Nous chassons souvent le matin parce que le soleil, à cette heure-ci, se reflette dans la neige et éblouit ainsi les proies. Nous, nous y sommes habitués.
Onoff, mon frère (on l'avait surnommé comme ça car, bien que simple d'esprit, il avait des éclairs de génie), me signala comme à son habitude une piste d'écureuil des neiges partant sur la gauche. Pas intéressant. La meute avait faim ce matin-là.
Je flairai une piste. Une famille de lapins. "Avec un peu de chance, la femelle viendra de mettre bas"songeai-je. Je ne sais jamais quand est le printemps lapin, elles sont curieuses ces bêtes -là!
J'entrainai donc la meute au pas de course. Le gibier se rapprochait. Au bout de quelques minutes, nous aperçûmes le terrier. Mais tout de suite, sans avoir le temps de souffler, le mâle nous avait senti, et s'enfuit au pas de course. Je le pris en chasse tandis que je transmettai au reste de la meute de ramener le reste de la famille.
Le lapin connaissait manifestement son chemin. Il se dirigeait vers des hauts-plateaux. Je l'avais dans ma ligne de mire. Je le rattrapais petit à petit et je le sentais s'essouffler. Nous arrivions à la sortie du bois. Je voyais le soleil s'agrandir au fur et à mesure que je courais. Je le fixai (le lapin). J'y étais presque. Dans trois sapins, ce serait la sortie du bois.
Plus que deux. J'entends presque son coeur battre. Plus qu'un. Je vois le bout de sa queue qui tremble de terreur. Quel plaisir!! Je vais l'avoir. Je sens déjà sa chair fraiche... C'est jubilatoire!
Mais là, le soleil m'éblouit, j'avais oublié la sortie du bois. Le lapin détale, je m'arrête, les yeux rouges. Je reprends mes esprits. J'ouvre grand les yeux. C'est à ce moment-là que je vis un spectacle encore inconnu pour moi.
Devant moi s'étandait une plaine, où paissait un troupeau de je ne sais quoi. Je compris vite que c'était un cousin du cerf. Je prévins la meute. Je pensais les attendre mais l'envie était trop irresistible. Toute cette chair fraiche qui attendait, là, presque immobile.
Je m'élancai. J'en fixais un. Il était dodu, pas des plus robustes apparemment. Il ne m'avait pas vu. J'accelerai. A une vingtaine de foulées de moi, il me sentit. Il se mit à déguerpir. Mais il était trop tard pour lui. J'étais lancé. Le temps qu'il démarre, qu'il prenne ses appuis, je lui sautai à la gorge. A une vitesse telle que je l'emportai avec moi dans mon élan.
Nous roulâmes. Je perdai la prise. Je me retrouvai dessous, sous la bête. Elle était lourde. Je paniquai. Je n'arrivais pas à me dégager. La bête essayai tant bien que mal à se relever.
C'est là que je sentis la présence d'un autre animal. Un de ses compagnons avait pris le risque de venir l'aider. Il le poussa, le releva. Encore un peu sous le choc, l'esprit embrumé, j'avais encore assez de réflexe pour saisir la patte du nouvel arrivant qui se trouvait juste devant ma gueule.
C'était dur. L'animal tentait de repartir. Tout en me relevant, je tentai de le mettre à terre. Il s'affaiblissait en paniquant. Je tins bon. Je commençais à sentir son sang ruisseler dans ma gueule. Je serrais de plus en plus fort. Avec un ultime effort, je parvins à le mettre à terre.
Le plus dur était fait. Il se débattait. J'esquivais ses coups de sabots tant bien que mal. Je le saisis à la gorge, le saignai. Il se débattait de moins en moins.
Mais dans un moment d'inattention, il me porta son dernier coup, à la patte arrière. Les dégâts étaient moindres.
Il s'arrêta. Essoufflé, je m'allongeai. Et là, je vis son âme monter au ciel. Elle était diforme, je n'en avais jamais vu de telle.
Je repris mes esprits et dépiotai la bête, avant l'arrivée de la meute.
Elle ne tarda pas. Mais j'avais déjà mangé les bouts les plus charnus et les plus sacrés (le coeur).
Mon père, Soaski, connaissait ces bêtes. C'était un troupeau de caribous...

[Apocalypse]

Il avait écouté, amusé, les propos du canidé.
"Ma foi, vous semblez, Seigneur, posseder une assez grande habileté à la chasse. Cela doit avoir pour les louves une importance conséquente!"
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Maître Apocalypse

[Pavlov]

[i]Il sourit à son tour, flatté et amusé par son ami.
[b]C'est sûr, je dois bien avouer que je n'ai pas à me plaindre de ce côté là... Je crois qu'il faudrait que je pense à vous raconter ma récente rencontre avec Oeil-de-Lune, ma compagne. Elle n'a que des origines Bolcheviques lointaines mais je suis bien trop amoureux pour penser à ces choses-là...
Mais pour l'instant, profitons plutôt de cette taverne. Tavernier, remettez-moi une de ces vodkas étoilées, je commence à apprécier finalement.
Et vous Seigneur Apocalypse, puis-je me permettre de vous demander si vous avez une compagne?

[Hannibal (22/09/2005 - 24/10/2009)]

Aux dernières paroles du loup, le militaire put entendre de nouveau la musique désuée qu'il avait joué sur le jukebox et son humeur passa de joyeuse à maussade. Puis il caressa une de ses médailles..."la médaille pourpres"...c'était celle à laquelle il tenait le plus malgré le fait que ce n'était pas la plus prestigieuse. Et personne ne savait pourquoi.

[Apocalypse]

Il tordit la bouche
"Hélas, je crains n'avoir pas eu cette chance depuis que je ne suis plus un Jedi. Les Sith m'ont coupé de toute voie de la sorte, mais peut-être que je trouverais un être suffisament fort d'esprit dans cette galaxie!"

"Mon ami" dit il en fixant Hannibal "D'où vous vien ceci?"
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Maître Apocalypse

[Hannibal (22/09/2005 - 24/10/2009)]

"Hein ?!...quoi ma médaille?"dit le capitaine Hannibal en sortant soudainement de ses songes.
"Un vieux souvenir...oui un très vieux souvenir."poursuivit-il en laissant son regard perçait dans le vide.
"Un souvenir vieux de 9 ans...à l'époque j'étais sergent vétéran...c'était pendant la croisade de Marmad...sur une planète du nom de Amyos"Il soupira un long instant avant de reprendre.
"La planète était fermement tenue par une force conséquente de space marines du chaos, malgré cela nos troupes avait réussi à créer une tête de pont dans une des banlieus de la capitales...mais le centre-ville refusait de céder. Le haut comandement avait décrété une mission commando visant à démenteler un générateur de bouclier qui empêchait toutes tentatives de débarquement orbital dans la zone. Un groupe de 36 vétérans dont mon escouade...on m'avait confié le commandement de la troupe."Il soupira encore et ce prit la tête entre les mains.

[Apocalypse]

"Et?" dit-il d'un ton interessé
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Maître Apocalypse

[Hannibal (22/09/2005 - 24/10/2009)]

Il inspira de nouveau et reprit son récit.
"Une offensive des forces principales allait être lancée pour fournir une diversion tandis que mon groupe d'infiltration allait pénétrer un quartier abbandoné du centre ville et progresser vers le générateur. Après avoir sécuriser la zone nous avons défini un point de ralliement et envoyé nos deux meilleurs éclaireurs en reconnaissance des forces et positions ennemies. Une heure, il n'était toujours pas revenu et nous décidâmes de passer à l'action après avoir établi un plan d'attaque. Nous progressions dans les rues en ruines de la cité où les cadavres des précédents affrontements jonchaient le sol dans des marres de sang. Nous finîmes par découvrir ce qu'il était advenus de nos deux éclaireurs. Le reste de leurs corps rougit avaient été suspendus à des hampes de bannières...ces salauds les avaient écorchés vifs. Cela ne fit que décupler notre haine. Enfin nous atteignîmes le générateur qui prenait la forme d'un gigantesque cylindre parcourus de cages d'escaliers permettants d'atteindre le panneau de contrôle situé en hauteur. Le générateur était disposé autour de cinq tours de gardes avec emplacements d'armes lourdes. Le tout gardé par à peine une vingtaine de sapce marines du chaos. Deux des tours de gardes explosèrent dans une grande jerbe de flamme sous les tirs de nos lances roquettes. Aussitôt je m'élançai hors de couvert vers la rampe d'escalier avec une dizaine de mes vétérans derrière moi tandis que le reste de l'escouade engageait un tir de couverture en visant les tours qui ripostèrent violemment en éparpillant plusieurs demes hommes dans des gerbes de sang."
Il reprit son souffle et but une longue gorgée de son verre.