Developpement Empirium

[Gozkrân Uhk Trakka]

Secteurs E2/E3
Les flottes de guerre se sont écartées des 2 planètes Tchastié et Arden IX.
Une agitation règne sur ces 2 planètes : les représentants des camps en guerre doivent s'y retrouver, pour conclure un traité de paix.

Pour l'instant personne ne sait encore où se déroulera exactement la rencontre.

Les premiers contacts ont eu lieu par messages grandes ondes.
Ces accords devaient amener l'une des plus grandes paix attendue : le Chaos d'un côté, composé de la Seconde Croisade de Nazdreg et de la Voodoo Berserkia d'Uhk Trakka, et de l'autre l'Empire et l'Union, respectivement dirigés par Andrenn de Kerdrell et TatariaForza.
Ces 2 groupes devaient arriver à un cessez-le-feu total et définitif.
Mais l'Empire n'est plus concerné ; ce point sera sûrement abordé pendant la rencontre.
L'enjeu reste majeur tout de même ...


Le commodore de Gozkrân Uhk Trakka, chef du klan Voodoo Berserkia, fend la noirceur galactique, de sa coque tout aussi sombre et repoussante.
Le vaisseau se nomme Forcas, en souvenir de son vieil ami disparu. La coque porte encore les stigmates de l'affrontement avec Andrenn de Kerdrell.

Il se dirige vers Tchastié. Ce monde est sous le contrôle de son puissant allié Nazdreg.
Le Forcas se place en orbite.
La navette expéditionnaire, surblindée, surarmée, se prépare à emporter le chef ork.
La garde d'élite, en armure noire ornée de vert, prend place à son bord.
...
Elle se détache du mastodonte d'acier, et plonge vers l'atmoshpère grise de Tchastié.


Une fois les couches nuageuses dépassées, la vue se dégage devant le poste de commandement.
Le coton gris qui ensserre la planète est du aux villes en flammes qui sont maintenant visibles : le feu lèche partout les rares bâtiments encore debouts.
Des troupes du Chaos arpentent les lieux, affrontent les dernières poches de résistance tataries.
Les combats ont été rudes, les déflagrations sont énormes, peu habituelles. Des armes démoniaques certainement.
En tout cas elles ont été terribles.
La Seconde Croisade a oeuvré ...

Et pas qu'un peu ! grogne le commandant ork.
Pilote, v'là les koordonnées du point d'renkontre : grouillez-vous d'nous y am'ner !
L'astronef incurve sa course à l'ouest, en direction de grandes chaînes rocheuses, telles des mâchoires à l'horizon ...

[TatariaForza, désormais CurlanisJarnova]

De son côté, le commodore tatari Paix et Amour sur la Galaxie, qui opère dans la zone depuis le début des combats, se trouve à portée de Tchastié.

Pour empêcher toute erreur diplomatique, l'Empereur Confédéré a fait condensé les canons, preuve s'il en est que les négociations sont désormais sur le point d'être conclues. Les tractations ont été longues, les opinions tranchées ont eu du mal à se retrouver, mais l'accord trouvé semble désormais contenter toutes les parties.

Mais TatariaForza change de cap. Il demande au capitaine de faire route vers Arden IX, une planète prise à l'adversaire, et pas à n'importe lequel : à Nazdreg.

Autour du commodore, un long hologramme blanc se déploie. Un cessez-le-feu a été déclaré qui durera jusqu'à la rencontre et à la signature du traité. Mais mieux vaut être prudent, car tous les Seigneurs n'ont peut-être pas encore reçu le message.

Dans le voyage, TatariaForza se souvient du récit de la prise de Skalatrhax, la planète mythique où l'on peut trouver le Warp, un élément inexplicable que l'Empereur Confédéré a tenté en vain de comprendre avec les témoignages des survivants.
Ce récit du général JiliosMankouson semblait cohérent jusqu'au point où la bataille de la ville sur le Warp, Lokhrapax, avait eu lieu. A partir de là, les idées les plus extravagantes s'étaient invitées dans ses paroles, et TatariaForza avait dû le réformer pour éviter le scandale. Si les tataris avaient su qu'un de leur généraux était aussi atteint après le combat, ils auraient protesté vigoureusement, et notamment les familles des soldats recrutés chaque mois ...
Mais l'Empereur Confédéré préférait ne plus y penser. La crise avait été évitée, c'était tout.

Le commodore était désormais en orbite autour d'Arden IX. Un des conseillers vint voir TatariaForza, lui demandant qui devait le suivre à terre. La réponse fut claire : seuls le Ministre des Affaires Extérieures et le Chef d'Etat-Major viendraient avec lui.

Tous deux arrivés, l'équipage de la navette était au complet, prêt à rejoindre terre.
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[WU]
Intégriste d'E][

[lordmacclem]

L'espace se déchire a proximité de la planète Tchastié.
Le Vaisseau Amiral "Shaï-Hulud" de la flotte Fremen apparait en passant à travers les fissures de la non matière.

Les emplacements des canons sont vides mais une couleur particulière caractéristique des vaisseaux en guerre s'y maintient encore, preuve que ces emplacements ont servi.

A peine arrivé aux abords de la planète un ordre fuse:

"Déviation, dirigez vers Arden IX, planète Tatari , homme de quart."

Les accords de la plus haute importance entre l'Union et les Forces du Chaos ne peuvent être retardés.

Au poste de commandement, le Seigneur Macclem attend et se remémore ses souvenirs du conflit. Le ravage de Dune vient vite à son esprit.
Le ravage mais pas la prise, l'honneur est sauf, le sol reste sacré.
Même si les souffrances furent grandes.

Le Vaisseau est enfin en orbite:

"Qu'on prépare mon Orni personnel et celui de mon fils."

Le Seigneur Macclem quitta le poste de commande en se dirigeant vers les spatioports. Les négociations n'attendent pas.
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[Nazdreg]

A bord du Terminus Est l'agitation était palpable, des dizaines de nurglings, résultat de plusieurs sauts successifs dans le warp, arpentaient les coursives en couinant, criant et mordant les quelques esclaves survivants.

Pleines de soldat du chaos et de démons, les soutes résonnaient des hurlements des humains, des beuglements des créatures du Warp et des combats constant entre les deux parties.


Nazdreg dans son poste de commandent ressentait toute cette haine à bord de son vaisseau et il s'en délectait, les derniers combat auxquels il avait pris part lui avait démontré que même les soldat des l'union, ou de l'empire ne pouvait exprimer une haine si puissante.


Le croiseur continuait sa route vers le lieux de la rencontre, Nazdreg, coincé dans son armure vivante qui avait fusionné avec ses tissus démoniaques, se leva de son trône dans la salle de commandement et marcha lourdement vers les teleporteurs.

Un grincement, un crépitement, un éclair de lumière et Syphillis, le bras droit de Nazdreg, et commandant du Volonté du Chaos apparu.

-Syphillis ! Restez la, nous venons de nous placer en orbite haute d'Arden, nous nous rendons directement sur les lieux.

Le personnage crépitant encore après la téléportation, hocha la tête et se prépara au second voyage. Nazdreg se placa a ses côté, rabbatit ses ailes, et les deux seigneur du chaos disparurent, happé par une lumière blanche à l'aspect inquiétant.
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Gloire a Grand pére Nurgle
Gloire au chaos Universel

[Solvay]

Un homme s'approcha du commandant Solvay, c'était l'officier Lirmo qui signifie "larmes" en Milde, sa langue natale. De nombreuses cicatrices martelaient son visage défiguré par la guerre.

- Que me vaut ta venue Lirmo?

- Je veux t'accompagner sur Arden!

- Impossible Lirmo... Tu es bien trop impulsif pour rester calme en présence des signataires. Je sais que tu as perdu ta famille dans cette guerre et que tu n'aimes pas trop la venue de cette guerre car seule la colère règne en toi! Tu as été un officier exemplaire et ton avenir au sein de nos forces est prometteur mais je crois en cette paix et l'approuve. C'est pour cette raison que j'irai seul et sans armes sur la planète Arden.

L'officier Lirmo baissa la tête, l'air hagard.

- Allez, ne te laisse pas emporter par la tristesse... plus elle te gagne et plus elle te détruit, c'est pire que la guerre.

Le commandant Solvay se dirigea vers le hangar 7 où se trouve le module de transport privé. le vaisseau approchant de Arden, le départ pour la paix est proche et l'excitation commence à se ressentir au sein des généraux.

- Tiens, Général Molikez, je te nomme commandant du vaisseau en mon absence, tâche que toutes les opérations commerciales continuent durant mon absence.

- Bien Monsieur.

S'ensuit un voyage à destination de Arden, terre de paix.

[DamonYa]

De la conscience des Illuminés, DamonYa pensa.

Il pensa à cette guerre qu’il avait vu naître de trois fois rien, alors que sur la galaxie, il était encore jeune et frêle. Il se souvint de l’embrasement que la guerre suscita tout autour de lui. Il se remémora toutes les conséquences que cela engendra, la plupart du temps malheureuses.

Cette guerre qui ne le concernait pas et ne l’avait jamais concerné. Il l’avait refusé et pourtant il s’était engagé dans des actes la favorisant sûrement. Le simple fait d’être de l’Union sans doute, mais il n’y avait pas perverti son âme.

La présence de tous les Membres de l’Union avait été demandée de toute urgence par le Coordinateur, non loin de la planète Adren IX, avant que tous les actes de signatures entre forces belligérantes ne soient définitifs. Seul le Ministre des Affaires Extérieures Solvay, le Chef d'Etat-Major Lord Macclem et le Coordinateur TatariaForza se déplaceraient ensuite véritablement pour conclure directement les signatures du traité avec les anciens ennemis.

DamonYa se trouvait de toute façon trop éloigné pour envoyer l’Emissaire Iratène, fruit de lui-même. Depuis le commodore du Noah’s Ark situé à des Temps et Espaces de là, il ne fit acte de présence à cette réunion de l'Union, que de façon téléhologrammé et en utilisant l’image et le corps d’Iratène.

Il n’attendait pas grand-chose pour lui-même de cette assemblée extraordinaire de l'Union. Sa neutralité dans la guerre ayant été déclaré depuis le début de celle-ci, malgré quelques mésaventures à propos de ce statut, il n’y avait donc que très peu de sujets qui à l’issu de ce traité, le concernait. C'est la raison sans doute également pour laquelle, on ne l’écouterait qu'avec peu d'attention.

Mais, le simple fait de participer, même passivement, à ce qui serait sans doute devenu le traité de Paix, le plus vaste de toute l’Ere Pré-Galactique, le rendait tout de même anxieux. L’enjeu était trop grand et l’ensemble des habitants de la Galaxie était concerné ou de près ou de loin.

Dernière édition par DamonYa le Jeu 27 Oct 2005, 12:58; édité 4 fois

[ToXiCiTy]

Un dialogue entre le seigneur ToXiCiTy et son confident :



- Maître. J'ai à vous parler.
- Mon ami, que se passe t-il ? C'est bien la premiere fois que je vois un sourire se dessiner sur votre visage depuis bien des cycles. Cela me rejouis. Je sens que vous m'apportez une bonne nouvelle. Je sens que les mots qui vont sortir de votre bouche vont eclaircir les journées sombres que je vis depuis bien trop longtemps. Je n'en dit pas plus et je m'en vais vous écouter les oreilles grandes ouvertes avec les yeux qui petillent tel ceux d'un enfant en train de jouer avec son jouet prefere.

- En effet. Les mots que je vais vous dire ne pourront que vous rejouir. Sachez que la guerre est sur sa fin et qu'un traité est en train d'être signé. C'est avec le sourire que j'annonce votre guerisson. C'est avec plaisir que j'illumine enfin cette piece. L'espoir a payé mon seigneur. Votre ennemi, la guerre, s'est lassé de vous. Cible parfaite que vous etiez par votre caractere pacifique. Elle se lasse enfin de vous. Vieux jouet que vous etes devenu elle s'en est allé frapper une autre victime.

- Les mots qui pourraient definir ma joie n'existent pas. Sachez qu'il m'est impossible de vous dire ce que je ressens acutellement. Les larmes qui coulaient sur mon visage en enfin pris un gout. Le gout de la vie.

Voyez vous, la mort m'avait enlacé
Elle venait souvent me parler.
Elle me disait qu'il etait temps de partir.
Je n'etais qu'orphelin de mes desirs...

Elle m'avait demandé une derniere volonté
Et c'est la, sur le sol
Que je lui ai demandé un dernier vol.
Chose qu'elle a excausé.

- L'émotion que vous ressentez, vous n'avez pas besoin de l'exprimer par des mots. Vos larmes et la lumiere qui se dégage de votre regard parle bien mieux que tous les livres de la galaxie.

Dans le noir absolu qui glacait la piece, on put apercevoir pour la premiere fois un rayon de lumiere : Un sourire.
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Dernière édition par ToXiCiTy le Jeu 27 Oct 2005, 12:32; édité 1 fois

[Aërendil]

-Tout puissant Seigneur, nous sommes en approche du point de rendez-vous.

-Bien, contactez les Hérauts et faites savoir notre arrivée.

L'Ailedemort, puissante forteresse volante nacrée de reflets sombres portait encore les marques de la guerre. Alors que certaines partie du bastion paraissaient avoir été assemblées récemmment l'allure générale du bâtiment avait perdu de sa splendeur d'antant.

Seules les runes du puissant Duc du Changement dégageaient une réelle marque de puissance, témoins de la foi immortelle des occupants du navire. Dans un voile de ténèbre elles laissaient paraître l'illumination de Tzeentch, Seigneur à jamais immortel dont la moindre musique résonne dans la Toile.

-Seigneur, on me fait savoir que le grand Nazdreg est déjà arrivé. Il est avec les dirigeants païens.

Le visage d'Aërendil se crispa. On put lire sur celui-ci une pointe de tristesse, noyée dans un visage magnifiquement obscur. Personne ne put lire ses pensées, pourtant une certaine tension envahit l'entourage du Seigneur.

-Grand-Père essaierait-il de nous doubler...? Quel intérêt aurait-il à le faire alors que nous fêtons la victoire des Quatre réunis ?

Aërendil se leva de son trône de fer blanc, il se dirigea vers un assemblage de divers alambics, tuyaux, et résidus humains des derniers esprits sacrifiés. Tout le monde sut qu'il fallait sortir de la pièce et s'exécuta. Le visage du Seigneur se détendit, son corps resta inerte un moment, la paix se fit autour de lui. Dans les tuyaux les flux s'accélérèrent. La danse obscure se fit.

Aërendil semblait lutter contre lui-même, son esprit l'oppressait. Il esquissait des mouvements inégaux, chaotiques. Alors un cri de puissance retentit, se propagea dans la nef, faisant trembler la structure toute entière. Tous le reçurent avec crainte, s'immobilisa un court moment avant de reprendre son activité. Autour d'Aërendil les mouvements s'étaient tus ; la paix revenue.

Un moment passa.

Aërendil avait retrouvé son imposante stature sur son trône.
Il réfléchissait.
Tout était de nouveau en mouvement autour de lui. Les larbins s'affairaient, allant, revenant, dans un flux incessant.
Puis son visage s'éveilla.
Il se leva.

-Faîtes savoir à Nazdreg, héraut de Nurgle, que notre Dieu est témoin de la vanité du Grand Père. Qu'il signe le traité seul, il sait que cela lui portera querelle. Programmez le voyage de retour.

[Gozkrân Uhk Trakka]

L'astronef ork arrivait au point de renkontre indiké par Nazdreg : au milieu des montagnes, une structure étrange, torturé, à la fois lumineuse et sombre.
On distinguait à quelques endroits, au travers de la masse spongieuse et chitineuse, les angles bétonnés de l'ancienne forteresse humaine.

Le vaisseau se posa sur une aire délimitée par d'étranges sphères, irradiant une lumière malade verdâtre.
La piste sembla accueillir l'engin comme une main ...

Les Orks descendirent, bardés de leurs armes aux multiples assemblages.
Ces "bricolages" faisaient toujours se moquer les humains, mais étaient d'une efficacité redoutable.

Une fois dans l'antre démoniaque, humide, sombre, un nurgling servant vint guider l'escadron.
L'architecture déroutante faisait qu'au bout d'un moment, couloir après couloir, on ne savait plus si l'on se trouvait plus haut ou plus bas que le point de départ : il n'y avait plus d'escalier, ils étaient remplacées par des tunnels. Et les impressions de montée ou de descente, n'étaient que des impressions, pas des certitudes ...

Le nurgling s'arrêta.
Ils se trouvaient dans une pièce un peu plus classique, ce qui ne déplut pas aux guerriers orks.
Le nurgling fit comprendre, dans un langage très grésillant et zébrant, que la garde devait rester là : seuls les chefs se retrouveraient dans la salle de traité.
La salle avait d'ailleurs été arrangé aux goûts orks, avec même quelques tonneaux.
Certains gardes lorgnaient desus ; Gozkran fronça les sourcils :
- Le premier ki touche une goutte, j'le vide !
Il fit claquer sa pince de guerre : 3 énormes doigts d'acier, mûs par des pistons, dont le seul poids aurait écraser un homme.
- Tout devrait bien s'passer, mais j'tiens à avoir une garde opérationnelle, au kas où ... alors pas d'binouze !
Les Orks avaient compris ; il s'agissait de l'élite, un peu plus disciplinée que les autres.

Gozkran tourna les talons et suivi le nurgling.
Ils s'engagèrent dans un long tunnel, puis débouchèrent dans une salle : la salle du traité.
Elle était octogonale : le symbole du Chaos.
7 autres portes la desservaient.
Les autres allaient arriver ...

Sur Arden IX, contrôlée par les unionistes, les seigneurs de l'Union allaient bientôt connaître le véritable lieu de rendez-vous.
Le traité ne pouvait pas se signer en territoire unioniste ; Arden n'avait été qu'un leurre pour éviter toute embuscade ...

[lordmacclem]

Deux chasseurs monoplace foncent vers Arden IX. L'écusson du Duc, le Dragon et les 7 étoiles, se voit sur leur carlingue. Le Grand Vaisseau flotte derrière eux mais semble s'éloigner. La planète est proche.

" Fëanor mon fils, durant ces négociations tu resteras derrière moi en tant que garde du corps. Tu ne devras pas parler ni intervenir de quelque manière que ce soit. Observe et apprends.
-Oui mon Père.
-Autre chose , ce n'est pas ici qu'auront lieu les vraies négociations, si il y en a, mais je ne crois pas l'embuscade. Les Orks sont trop fiers pour ça. Allons dépêchons nous, la conférence aura bientôt lieu."

L'atmosphère est crevée d'un coup et les coques rougissent un peu.
Enfin, le gigantesque spatioport apparait ainsi que le lieu de rendez vous pour les Seigneurs de l'Union. Dans le chasseur du Duc, une bouteille de bière d'épice apparait soudainement avant de se vider tout aussi subitement.
La radio s'allume.

"Contrôle Aérien Union, identifiez vous où vous serez détruit. A vous.
-Ici Lord Macclem, Duc des Fremens. Code d'indentification:
Que s'embrase l'espoir.
-.......Code vérifié, bienvenue mon Seigneur, vous êtes attendu.
-Fëanor, si c'est un piège retourne au Commodore et que les flammes brulent."
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