Developpement Empirium

[Katherine Talkesh]

(HRP: comme l'indique le titre, ceci signe le retour de l'écrivain fou après que l'auteur du journal le moins lu de la galaxie car le plus long fut décédé. Disons que c'était les risques du métier, j'avais mis en jeu mon personnage, et aurais perdu l'une de mes plus grande source d'inspiration.

Pour les remarques qui me permetraient d'améliorer mes textes, je les reçois volontier par MP. Sinon, je prierais quelqu'un qui en a la possibilité d'ajouter cette option au sondage:"les deux me semblent équivalent." Un grand merci aux modos et au maître du forum pour cette correction ^^

Donc maintenant changement de style et écrits moins longs. Bonne lecture...:HRP)

Prologue:

« Dame Katherine ?
-Oui Duncan, nous pouvons y aller, faites préparer notre navette.
-Mais ! Le conseil n’attend-il pas que nous le rejoignions afin que le vote puisse être annoncé !?
-Si, mais je veux voir de mes propres yeux le corps de mon père.
-Bien, il sera fait selon votre désir ma dame.

Le maître de l’intendance se retira, laissant la probable future impératrice de Terra seule. Ne sortant que rarement du palais, il avait appris à en faire son univers, les nombreuses salles et couloirs composant cette improbable structure tant souterraine qu’aérienne étaient devenus une extension de lui-même. Si il était devenu maître de l’intendance ce ne fut par hasard, mais bien parce qu’il fut le seul à pouvoir prendre cette charge suite au décès de son prédécesseur 4 ans plus tôt.

Toujours calme et ne se séparant jamais de son ton posé et réfléchit, il faisait figure de force tranquille de l’organisation dont dépendait le bâtiment à chaque instant. D’ailleurs il était bien le seul à rester calme lors de ses déplacements dans le gigantesque édifice.

Il s’amusait à penser que seul lui pouvait rester calme, car il était bien le seul à savoir comment évoluait le bâtiment. Le fait qu’il soit un peu intelligent le rendant parfois si énigmatique. Les couloirs ayant souvent tendance à se retrouver fermés par des hologrammes. Ainsi, il n’est pas rare de voir les employés administratifs se promener tout le temps avec un plan affiché face à eux. Mais cela ne suffit pas si jamais la tâche en cours de la personne peut être effectuée par la conscience artificielle. Alors là, la personne est certaine de se perdre dans les couloirs durant plusieurs heures dans les cas les plus extrêmes.

Duncan avait eu vent qu’une fois l’I.A. du bâtiment s’était tout simplement amusée à faire tourner en rond un groupe de délégués se rendant à leur pause après avoir piraté leur carte. Il ne le crut pas tout de suite, mais dut cependant admettre ce fait lorsque quelques jours plus tard il croisa le même groupe se débattant avec une carte imprimée sur papier dont la taille était proprement ahurissante.

Connaissant la plupart des tours que joue l’intelligence artificielle en charge de ce lieu, et aussi ayant les plans dans sa mémoire, il ne risquait guère de tomber dans le panneau. Duncan se demandait aussi souvent où se trouvait la raison de la survie de cette I.A. assez gênante. Le trajet jusqu’au centre de commande fini, il commanda la préparation d’une des navettes. Tout cela pour apprendre un peu plus tard que cette demande ne pouvait être faite que par le maître de l’intendance…

[Katherine Talkesh]

Tout se met en place

Cela devait être une plaisanterie; et pourtant le code d'erreur était exact! De même les messages avertissant de l'infraction le personnel de sécurité!

Duncan ne comprit rien à la situation et se retrouva mis en joue par trois gardes dubitatifs qui reconnurent le maître de l'intendance dont les bras reposaient, figés sur la console. -c'est impossible, comment l'I.A. a t elle pu le faire? Mais ça ne peut pas être l'I.A. ... alors qui?- Mais il ne pu aller plus loin dans ses pensées, Katherine Talkesh venait d'entrer en ces lieux, un uniforme neuf sous le bras.

Elle le déplia, le mit face à l'être tourmenté, pencha la tête sur le côté avant de déclarer d'une voix amusée qu'il allait falloir revoir la coupe afin qu'il ait l'air un peu plus sérieux.

-Ma Dame, mais que signifie tout ceci?!
-Mon cher Duncan, vous ne semblez pas être assez perspicace, serait-ce du à cette vie de reclus dans ce bâtiment? Néanmoins cela va changer, vous serez désormais en charge de l'organisation de ma sécurité durant mes déplacements.
-Mais! Seul l'empereur peut disposer d'une garde d'honneur et... Ce n'était qu'une farce?!
-Vous comprenez assez vite, le conseil m'a déjà annoncé que j'avais gagné ces élections. Je voulais juste voir comment vous alliez réagir, votre calme m'a juste prouvé que vous étiez parfait pour ce poste. De plus, vous êtes expérimenté vu que vous vous chargiez toujours de la sécurité de mon père lorsqu'il se trouvait sur Terra.
-Si il doit en être ainsi...

Il prit l'uniforme des mains de l'impératrice avant de le mettre sous son épaule et de demander respectueusement à quitter les lieux. L'impératrice de Terra l'y autorisa moyennant le fait qu'il devrait être de retour sur l'aire de départ dans moins de 20 minutes. Jamais il n'atteint la moitié du délai et arriva avant même que l'appareil ne soit près à les emmener à leur destination. Il ignorait tout de ce qu’il aurait à faire et se contenta donc de suivre tout le monde jusqu’à l’appareil, il devinait que leur premier déplacement ne demanderait pas beaucoup de vigilance de sa part. Mais les gardes d’honneur qui se trouvaient près de lui et lui jetaient parfois un regard le mettaient mal à l’aise, il était plus que probable qu’il ne puisse pas remplir sa tâche.

-Ne vous en faites donc pas chef, vous aurez le temps de vous habituer à cette situation avant même que nous ne posions pied à terre.
-L’impératrice n’est-elle pas au courant que je n’ai aucune expérience dans ce domaine ?
-Si c’est le cas, non, mais elle doit croire en vos capacités, tout comme son père l’a fait avant…
-Si vous pensez aux attentats…
-C’est cela même…
-Je n’étais pas à ce poste, bordel !
-Non ?
-Non commandant, je n’y étais pas !
-Alors c’est que vous avez perdu la mémoire et que nous avons un grave problème, notre coordinateur et notre principal tacticien serait dès lors inutile et trop encombrant.
-Vous dites que j’étais à ce poste ?
-Bien! On va repartir de zéro. Il y a quatre ans, un peu avant les attentats vous étiez l’apprentis du maître de l’intendance, c'est lors de ces instants tragique que...

Dernière édition par Katherine Talkesh le Sam 06 Aoû 2005, 22:52; édité 1 fois

[Katherine Talkesh]

Réminiscences

Le commandant de la garde lui fit un récit improbable, carrément dément, et pourtant Duncan sentit une porte s'ouvrir en lui, un nouvel instinct voir le jour et des souvenirs enfouis remonter lentement jusqu'à la surface de son esprit.

Que poussière et fumée, un incendie particulièrement violent jette sa faible lueur au travers de ce nuage toxique. Ma main reposais dans une sorte de fluide chaud et visqueux au touché. Ce n'est que lorsque je réalisais ce qui s'était passé un peu plus tôt: l'explosion de forte puissance, que je compris que ce liquide ne pouvait être que le sang de la personne qui m'accompagnait auparavant.

J'étais aveuglé par la fumée et ne voulais en aucun cas voir la dépouille de mon ancien mentor. Je me relevais avec peine et, suffocant dans cette épaisse fumée, cherchais une solution pour me sortir de ce piège mortel. Bien évidemment j'aurais du continuer le long du couloir afin de me rendre vers l’un des postes d'évacuation les plus proches, mais mon maître étant mort c'était à moi qu'incombait la tâche de déverrouiller les systèmes de sécurité du palais.

C'est ainsi que je me retrouvais à errer entre les couloirs d'un palais ravagé par des explosions de plus en plus fréquentes. Mais bien que croisant plus de morts que de vivants, chaque nouvelle rencontre augmentait un peu plus mon courage et ma volonté de survivre. Il fallait à tout prix que je rejoigne le centre de commande se trouvant dans l'un des sous-sols si je voulais pouvoir faire cesser ce massacre.

Ca y était enfin ! Je me trouvais face aux…, enfin face à ce qu’il restait des ascenseurs. Il allait falloir descendre les 5 étages restants en m’accrochant aux câbles qui semblaient encore être reliés à une carcasse se trouvant 20 étages en contrebas, noyée par des flammes et d’où montaient d’horribles cris d’agonie. -Allez !- A peine eus-je le temps d’hésiter que je m’étais déjà lancé dans le vide, me rapprochant sans cesse de mon objectif, ce câble d’acier. Mais si seul le fond de la cage d’ascenseur était en flamme, cela n’avait pas empêché la température d’augmenter rapidement au dessus du foyer.

Lorsque mes mains touchèrent le matériau, je du réprimer l’onde de douleur qui déchira durant un court instant ma conscience, je n’avais pas réfléchis et maintenant je descendais le long d’un câble aussi brûlant que tous les enfers. Je plaquais rapidement les semelles renforcées de mes bottes contre l’acier chaud et pu ainsi ramener les manches de mon uniforme sur mes mains gravement brûlées.

Cela ne fit que diminuer légèrement la douleur, mais me rassura car j’étais certain que cela m’aiderait à ne pas trop aggraver mes blessures. L’odeur de chair brûlée assaillit de nouveau mes narines alors que j’arrivais enfin face au niveau que je souhaitais atteindre. Il me fallu encore solliciter de beaucoup mes nerfs et mes muscles déjà endoloris afin d’imprimer au câble un mouvement de balancier suffisamment fort pour me permettre de rejoindre le sol ferme du niveau -5.

Une fois à cet endroit, je m’évanouis presque, mais continuais malgré tout de ramper en direction des portes blindées. Enfin, lorsque ces portes se furent refermées, je pus enfin, d’une voix très faible, commander l’activation des systèmes de sécurité. Ce n’est qu’à ce moment que je me laissais aller et rejoignais les limbes accueillantes de l’inconscience…

(HRP : bizarre, mais Limbe est un nom masculin … Bon ok le dico est très vieux, je garde le féminin pour donner une meilleur consonance. ^^ :HRP)

Lors des interrogatoire, il fut assez aisé d'apprendre qu'ils avaient essayé de tuer les deux seules personnes pouvant décidé d'activer les protocoles défensifs avant de lancer le reste de leurs assauts…

-C'est tout?
-Je ne suis pas écrivain, mais garde de l'impératrice, alors si vous vous attendiez à plus étoffé...
-Non, c'était clair, concis et précis, rien de plus n'était nécessaire. Surtout qu'il me semble que d'anciens souvenirs datant de cette période me reviennent.

(HRP: Enfin cette suite que vous attendiez tous ^^)

[Katherine Talkesh]

Couverture...

"C'est bien clair Duncan?
-Oui empereur, je devrai oublier jusqu'à cette discussion et ne retenir que les instructions pour les prochains ravitaillements des stocks du palais.
-Bien, durant tout ce temps tu m'auras servis fidèlement, mais tu t'es fait trop d'ennemis pour que je puisse te garder encore plus longtemps à mon service san risquer de perdre une personne de valeur. Tu retourneras donc à ton ancienne tâche et l'hypnobloc se trouvant maintenant inséré dans ton esprit t'empêcheras de perdre ta couverture.
-C'est trop bon de votre part, tous mes prédécesseurs n'avaient pas eut autant...
-Et pourtant..., si. Maintenant, tu vas perdre tout ce qui t'es arrivé ces trois dernières années afin de ne te rappeler que ce qui te sera nécessaire pour ta fonction de maître de l'intendance.

Tout se mis à disparaître, j'avais l'impression de perde tout ce qui faisait de moi ce que j'étais. Mais pourtant, plus tout ceci disparaissait, plus je me sentais heureux d'être ce que j'étais certain de devenir avant tous ces attentats sanglants 3 ans plus tôt. Tout disparut: la campagne sur Verdan, sur Irridia, sur Exodus. Les combats dans la ville fortifiée de Kolis sur Errian'rhè et tant d'autres. Puis il ne me resta qu'une question à poser:

-Etes-vous certain que vous n'aurez que ces invités pour le souper?
-Bien sur mon ami... Bien sur.

Duncan n'en revint pas, n'ayant jamais effectué l'entraînement nécessaire pour faire partie de la garde, il su pourtant parfaitement comment démonter, remonter et entretenir son arme, tout comme le tout dernier modèle d'armure.

Ainsi, rien qu'en regardant l'arme que portait le commandant sur ses genoux, il su préciser avec soin que quelques ajouts pas forcements légaux étaient mis sur quelques parties de l'arme. Mais c'était monnaie courante dans la garde et l'armée. Chacun étant responsable de son équipement et de son entretient. Des modifications et des ajouts tels que ceux-ci étaient extrêmement courants pour le moins que cela ne mette en danger ni la personne qui l'utilisera ni ses coéquipiers.

-Commandant, vous ne pensez pas sérieusement que vous aurez besoin d’une telle puissance de feu, non ?
-Quand il s’agit de…
-...la vie de nos hommes rien n’est à laisser au hasard ?
-Exactement, je vois que la plupart de vos souvenirs doivent vous être revenus.
-Ce sont les mots qu’a prononcé notre empereur défunt lors de son habituel discours avant notre descente sur 619, non ?
-Oui, bien! Notre tacticien est de retour, aller les gars !
-Toujours près quelque soit notre nombre et nos moyens !
-Ouais toujours… Confirma Duncan d’un air discret en regardant les bâtiment défiler sous l’appareille de transport.

Et ainsi, ils se rendaient vers le spatioport où les attendaient la navette qui allait les mener jusqu’à la stationorbitale Droujdu Gavan’ cadeau de l’empire confédéré tatari…

(HRP: ce nom en russe signifie le port de l'amitié, enfin c'est ce qu'un dico me dit ^^ :HRP)

[Katherine Talkesh]

Après la cérémonie qui eut lieu en l'honneur des 60'000 morts qui furent rapatrié sur leur monde natal, ce fut un véritable défilé d'empereurs, de commandants et de présidents de tous horizons. Néanmoins, ils n'étaient pas venus pour les morts lors de la guerre, mais surtout pour dire leurs derniers mots ou juste saluer une dernière fois le corps d'un homme qui fut un des leurs durant plus de 70 cycles.

Mais ce qui surprit le plus Duncan fut l'absence totale d'émotion sur le visage de Dame Katherine, elle venait de perdre son père et pourtant il aurait pu s’agir de n'importe quel inconnu. Ses paroles furent sèches et dures, mais point de tristesse, uniquement de la détermination et un regard posé loin derrière la foule, loin vers l'avenir tout comme le faisait le défunt.

Mais, encore plus déroutant fut le fait qu'elle ne désirait nullement repousser sa séance d'entraînement journalière..., encore moins l'oublier le temps de faire le point sur la situation. C'est ainsi que Duncan se retrouva à la regarder effectuer son entraînement avec l'un des maîtres d'arme de Diréa.

Alors Duncan? Vous avez trop mangé ce midi?
-Vous... croyez qu'il est ju... Han... dicieux d'effectuer cet entraînement?
-Rien ne pourrait me pousser à... le... reporter!
-Même pas la mort de deux de vos gardes?!

Il s'arrêta dans son mouvement, baissa son bras armé, baissa les yeux avant de relever la tête avec encore plus de détermination dans le regard et de me fixer comme si j'étais une proie. C'est alors que sa main apparut je ne sais comment sur mon cou, me soulevant du sol et me serrant de plus en plus fort la gorge.

-N'essayez même pas de comprendre. Ces deux gardes sont morts. Maintenant, il faut conserver leur souvenir aussi intact que possible en notre esprit. Mais en tout cas pas nous arrêter..., pas maintenant! C'est pour cela que les cérémonies furent créées, pour perpétuer le souvenir des morts pour que les vivants n'oublient jamais la raison de leur disparition!
-Vous... Vous m'étouffez maître...

Et il me laissa tomber au sol...

Et pourtant..., même si cet homme semblait avoir disparut maintenant, sa fille se déplaçait comme lui, parrait au bon moment, jamais avec trop de force, utilisant celle des autres. Mais il y avait une différence, elle semblait être insaisissable, tout comme l'était sa mère. Néanmoins, le chef de la garde ne pu que s'incliner devant l'évidence: Le père et la fille se ressemblaient à un tel point qu'il avait du mal à discerner les quelques différences dans les mouvements de l'héritière.

Il sauta de la passerelle d'observation, prit une des armes qui se trouvait contre le mur et chargea. Même lui n'était pas sur de ce qu'il faisait, mais il allait falloir qu'il en aie le choeur net..., il lui fallait à tout prix effacer ses doutes...

[Katherine Talkesh]

Réalité

Elle bloqua sans grande peine le coup porté par le jeune homme, préparant déjà sa riposte. Duncan eut du mal à esquiver le coup tellement il fut vif. Sa seconde attaque ne porta pas également et il commença presque à douter de ses propres capacités.

Le maître d'arme était déjà au sol, se tenant l'abdomen, du sang se glissant entre ses doigts avant de tâcher le sol. L'impératrice semblait avoir perdu le sens des réalités et devait certainement se trouver loin de cet endroit avec son esprit.-Elle va finir par me tuer...- Fut la seule pensée qui traversa l'esprit de Duncan alors que la lame de l'impératrice le frôlait à nouveau.

Mais l'homme, peut être à cour de capital chance, qui sait? Ne pu esquiver l'attaque suivante et se retrouva avec l'arme plantée dans sa poitrine. Il fixa, incrédule, le visage de celle qui venait à ce moment même de décider de sa mort. En tout cas c'est ainsi que la situation semblait être logique.

" Alors, tu n'entendais pas mon avertissement?
-Qui...
-Un mort, enfin c'est l'impression que je donne maintenant. Tu n'aurais pas du intervenir et la laisser se calmer.
-Mais! Et le maître d'arme?
-Sa blessure est légère et cela aurait amplement suffit à ma fille pour revenir. Mais je dois avouer qu'aller jusqu'à risquer de te faire tuer pour sauver une parfaite inconnue...
-Je vais m'en tirer alors?
-On dirait que oui, les secours sont déjà sur place. D'ailleurs tu devrais y retourner."

-Eh! Vous m'entendez?! Bon sang, il en donne presque plus signe de vie!
-Vous ne pensiez tout de même pas que j'allais mourir dans vos bras tout de même? Hein! Doc?
-Dame! J'ai le plaisir de vous annoncer que ce monsieur fait déjà de l'humour.
-Qu'il aille au diable!

Alors qu'il se faisait évacuer sur une civière, Duncan eut encore le temps d'ajouter:
-Peut être Dame. Mais cela sera uniquement le cas si vous me suivez.

Alors que les secours repartaient avec leur précieux chargement, l’impératrice se pencha vers l’arme qu’avait laissé au sol Duncan. Ce n’est qu’a ce moment qu’elle comprit vraiment ce qu’il avait fait. Il avait délibérément attaqué, sachant qu’il ne pourrait pas la toucher. En effet, si il n’avait pas utilisé son arme, c’est parce qu’il ne voulait pas risquer de blesser la nouvel impératrice de Terra.

Cette attitude aurait valut beaucoup de remerciement de la part de beaucoup de gens, mais elle, elle ne trouva que colère et désespoir, elle avait faillit tuer quelqu’un qui était sans défense, et elle ne lui en voulait pas vraiment, elle s’en voulait à elle-même d’avoir été si loin dans l’horreur, visité les mondes ravagé que son père avait foulé. Elle avait été jusqu’à lire chacune des pages du journal que son père lui avait légué, ce qui lui appris très précisément quel genre d’homme il était. En tout cas, pas celui que les gens connaissaient, mais un sombre univers où pensés et imagination sans limite se confondaient se mêlaient afin de former un indescriptible chaos.

Duncan était la clef qui devait finalement la pousser à lire ce journal si jamais elle ne l’avait pas déjà fait auparavant. En effet, elle remercia son père d’avoir pris toutes ces précautions, et cela lui ferait garder le souvenir du disparut jusqu’à sa fin. Voilà pourquoi elle n’avait que peu déploré la perte de cet être cher et de sa mère qui venait de se faire mettre en hibernation aux côtés de son époux.

(HRP:Ce texte clos cette minie série qui suivait de près un personnage inconnu et quasiment innimportant..., comme le sont tous le spersonnage que je me tue à décrire dans ems textes lol. A+ :HRP)