Developpement Empirium

[lordmacclem]

Voilà le mystère se lève enfin sur Lord Macclem , car voici son histoire qui commence.

(HRP: je publierai la suite dans une semaine après un voyage)


Contes oubliés.

" Tenter de comprendre LordMacclem sans comprendre ses anciens ennemis mortels, les Goas-Ulds c'est tenter de voir la Vérité sans connaître le mensonge.
Cela ne peut être. "

Il pleuvait au dehors. Chose bien surprenante pour une personne qui n'avait quasiment pas connu la pluie. On pouvait dire ça. Voilà bientôt 50 ans que j'avais posé le pied pour la première fois sur cette planète. Voilà 50 années que je connais la pluie. Je ne me lasse toujours pas de ce spectacle. Enfin dans mes souvenirs j'ai vu la pluie mais ce ne sont pas vraiment mes souvenirs. Il est toujours là, nous fêterons bientôt notre millénaire de cohabitation.
Je n'étais pas le seul à être surpris par cette eau venue du ciel.
Mes compagnons d'enfance étaient toujours là. Ils étaient passés par des combats, des souffrances et un voyage cryogénique pour être là aujourd'hui.

Ils se tenaient derrière, bavardant, jacassant pour montrer une soi disant excitation.
Thufir Hawat, mon Conseiller et Ministre l'air vieux et ridé mais toujours aussi vif,
Gurney Halleck, Commandant de ma garde personnelle, avec son visage creusé de cicatrices,
Duncan Idaho, Bashar Suprême de mes armées, jeune et alerte et normalement du même age que moi si ce n'est que je ne suis jamais passé par la cryogénisation et ne le pourrais plus,
Stilgar le Naib, mon gouverneur Siridar de La planète Dune, toujours droit et fier et
Miles Idaho le fils de Duncan, le seul qui était vraiment excité.
Tous sauf Miles avaient un anneau, un simple anneau blanc au doigt.
Ils luisaient étrangement à la lumière de la cheminée.
Je me glissais vers eux alors que la porte de cette grande salle s'ouvrit.
Les derniers arrivants ; mes enfants, mes fils et ma fille.
Curufinwë passat le premier, l'aîné, le plus noble et le plus grand.
Fingolfin le cadet en second, plus sage et moins impétueux que son frère.
Ma seule fille Idril, toute de blanc vêtue, si belle, ses yeux brillaient d'une grande sagacité.
Le dernier Finarfin, d'une grandeur moindre mais la marque de l'intelligence était sur lui.

Les anneaux blancs illuminaient aussi à leur doigt ce qui en faisait 8 en tout et un autre était posé sur un coussin au milieu de la grande table qui se tenait là. Tous étaient rassemblés là pour entendre l'histoire déjà entendue ou nouvelle. Je pris la parole :



Tous s'assirent en demi-cercle autour de la cheminée. Les contes anciens sont ancrés dans la vie des Fremens mais celui-ci apporterait toujours plus que tous les autres.

_Voici le conte du Départ qui nous fait revenir il y a un millénaire sur La toute première Dune. "

Et l'histoire commença." Nous voilà au complet. C'est une bien belle nuit ce soir et elle étonne toujours les anciens ici. Nous sommes là pour écouter les vieilles histoires comme des enfants au coin du feu, réjouis et heureux. Miles et vous mes enfants ne connaissez pas les faits que vous allez entendre parce que vous n'y étiez pas. Mais vous devrez les connaître pour appréhender ce monde et l'interaction de notre peuple avec lui.
Je vous conterai alors le conte du Départ que peu ont entendus.
_Il me tarde de tout entendre père ! dit Curufinwë, je me sens gagné par une excitation jamais connue.
_Tu n'es pas le seul mon frère ! lança Fingolfin.
_Alors asseyez-vous, écoutez et apprenez ! proclamais-je.

_________________

[lordmacclem]

" Il n'est probablement pas de révélation plus terrible que l'instant où vous découvrez que votre père est un homme de chair. "
Curufinwë dit Fëanor.

" Voici 1000 ans, le peuple des Fremens vivait sur l'ancienne Dune aussi appelée Arrakis. Ils vivaient coupés de la Galaxie sans s'en soucier, qu'avaient ils à apprendre de ces étrangers gonflés d'eau? Ils vivaient dans deux grandes cités: Arrakeen et Carthag et dans d'innombrables sietchs dans le désert. Ils étaient dirigés par leur Duc qui tenait son pouvoir de son anneau Ducal et le gardait comme symbole, le passant de père en fils.
Le Duc de ces temps siégeait à Arrakeen dans le château ducal.
Il n'avait nul besoin d'autorité et se nommait Leto. Il était marié à Alia et ils avaient deux enfants Maximus l'aîné et Tuniviel la fille. Ils étaient heureux et les habitants de la planète aussi. Seuls sur leur planète oubliés de tous alors qu'à l'extérieur le chaos régnait mais tout trace de Dune y avait disparu et personne ne s'en rappelait.
Le peuple des Fremens chevauchait les Vers Géants et ne pensait pas à cela car voilà longtemps que Muad'Did avait effacé cette planète des cartes galactiques.
Leto était son 38eme descendant et premier du nom. Il était quasi seul a connaître les origines des Fremen au-delà du Prophète Muad'Dib. Ils venaient des Atréïdes et des Zennsunnis , un mélange qui avait commencé au début de la race des Hommes car c'était Elendil le Fidèle qui les liait. Mais les Fremens d'aujourd'hui l'avaient oublié.
Un jour on vit un grand vaisseau se mettre en orbite.
C' était un vaisseau mère Goas'Uld.
_________________

[lordmacclem]

"Il n'y a pas d'issue. Nous payons pour la violence de nos ancêtres."
Duc Maximus LordMacclem.

Les tirs s'écrasaient déjà dans les principales cités tuant dans un vacarme terrifiant.
Les morts se comptaient déjà alors que les villes brulaient.
Les ordres fusaient mais l'ordre d'évacuation des cités vers le désert parti d'Arakeen où se trouvait le Duc et sa garde d'élite. Les ornis commençaient à emmener tous ceux qui le pouvaient quand soudain les planeurs de la mort s'abbatirent sur eux. Les ornis pris au dépourvus tombaient sur le sol de sable en explosant.
Le Duc impuissant observait le ciel remplis de planeurs et de Atak qui commençaient a déverser leurs troupes. A ses cotés se tenait Gurney Halleck et Thufir Hawat ses conseillers.

"Vous avez étés mes amis pendant de longues années alors si vous m'aimez quittez moi et portez ma famille en dehors de ces lieux!"

Ils s'éclipsèrent sachant qu'ils ne le reverraient plus. Le Duc appela ses hommes et il émergèrent du château en une phalange en forme de pointe. Ils se jettèrent en direction des Jaffas qui débarquaient. Les tirs les encadraient. La phalange explosa sous les coups des planeurs. Bientôt un seul fut encore debout. C'était Leto. Il restat seul , les troupes ennemis le dépassant car il ne vivait encore que grâce à la force de sa volonté. Il tombat à genoux.
Un Goas'Uld sortit d'un vaisseau. Il semblait commander. Il se saisit d'une lance et la pointa sur la tête du Duc.
Il tonna d'un voix forte:
"Le règne du seigneur Tigre commence. Je suis votre nouveau Dieu à présent"
_________________

[lordmacclem]

«Dans toutes les langues , le mot le plus redoutable est soldat. Rappelle vous : Avant tout chose assurez vous que l’armée soit avec vous.»
Maximus LordMacclem (mémoramdum aux rebelles)

Et il tira. Une adolescent observait la scène depuis une fenêtre. Il vit le corps tomber.
C'était son fils. Il partit en courant vers l'astroport pour prendre les derniers ornis où le reste de sa famille , sa sœur et sa mère devait se trouver. Les larmes ne coulaient pas le long de ses joues; les Fremens ne pleuraient pas leurs morts. Ils les vengeaient.
Le jeune homme atteingnit enfin l’astroport et la piste. Il vit le dernier vaisseau où se trouvait sa famille. Sa sœur l’attendait à l’entrée flanquée de deux gardes assez méfiants.
Il courût mais pas assez vite pour les bombes. Elles passèrent devant lui et explosèrent.
Les gardes furent fauchés , sa sœur éjectée et il n’y eut plus de vaisseau.
Un choc terrible ébranlat le jeune homme. Sa sœur était étendue à quelques pieds.
Il courut aussi vite qu’il put, se pencha, mais elle était morte.
Les Fremens ne pleurent pas leur morts, ils ne pensent qu’à les venger.
L’adolescent chercha une arme partout et il vit arriver soudainement Gurney et Thufir qui courant à toute allure le rejoignirent vite.
Ils parlèrent promptement l’entraînant hors du astroport vers le désert.
«Nous devons fuir d’ici et gagner le Sietch Tabbrr. De là bas nous pourrons coordonner notre contre attaque.
_Il n’y aura pas de contre attaque Thufir et vous le savez.
Mon père et ses meilleurs unités sont maintenant morts.
Ma famille est allée rejoindre le paradis promis.
_A travers toutes les peines, toutes les souffrances, l’homme vit toujours car tel est son but.
_Un jour Gurney tu seras sans citations et ce sera comme si tu étais tout nu. Alors pour l’amour de toi je ne rirai pas.
_Alors pour l’amour de moi partons maintenant.»
_________________

[lordmacclem]

«Il est 4 choses que l’on ne peut cacher:
La beauté d’un femme, un pilier de feu, l’amour
Et un homme seul dans le bled»
Dicton fremen

3 ombres dans la nuit, elles marchent d’une manière très étrange pour des non habitués au désert. Totalement arythmique. Un pas, un glissement, un pas, un pas, un arrêt, un pas, un pas, un glissement, une pause. Aucun son rythmé ne vient trahir les voyageurs et attirer un Ver. Une mort certaine pour des gens normaux de l’Univers aujourd’hui.
Mais les deux hommes et le jeune adolescent qui fuyaient ainsi dans le bled étaient Fremens et donc ne correspondant pas à votre définition de "normal".
Un but clair et un chemin tracé, voilà leur mentalité.
D’abord s’éloigner assez de la cité pour ne plus courir le risque d’être repérés.
Puis appeler un Ver de leur manière immémoriale.
Mais le secret est de mise car ceci ne doit pas être connu des Goas-Ulds.
Le chemin du Sud s’étend devant eux et il mène au Sietch Tabrr.
Ils sont enfin arrivés assez loin.
Le plus vieux semble prendre la parole d’un ton bourru:
«Mettons nous vite à l’abri derrière cet ilot de rocs. Un orni peut toujours venir.
_Je ne vois plus aucuns planeurs. Ils doivent être convaincus qu’il en restent aucun vivants à les fuir.» Lui répondit Gurney.
Ils continuèrent à parler ainsi pendant un moment alors que le jeune restait silencieux.
L’ombre de son destin semblait devoir le rejoindre pour qu’il s’accomplisse ici.
A peine eut-il posé le pied sur un rocher solide que l’épreuve qui l’attendait lui vint en rêve.
_________________

[lordmacclem]

"Les dieux et les hommes se mèlent parfois sans distinctions possibles pour les simples mortels."

Le vieux talent erratique du Prophète Muad'Dib. Transmis de génération en génération à l'état latent. C'est la première fois que Maximus sent si fort la puissance de son héritage, sa force dans ses gènes.
Il en tremblait en édifiant la tente-distille.
Les tours de garde furent choisis, Gurney commença.
Maximus ne put dormir:
Il n'avait plus de famille, son peuple vivait meurtri dans sa chair et lui dépouillé de son héritage ducal.
Il ne lui restait que l'Anneau Ducal pendant au bout d 'une chaine à son cou.
La tache et les labeurs qui l'attendaient seraient bien plus rudes que ce qu'il avait jamais pu imaginer.
Il devait libérer son peuple, chasser les envahisseurs et reprendre son royaume en vengeant son père.
Il sortit alors sur ces pensées.
Il aperçut Gurney bien après que celui ci l'ait vu.
"Mon Seigneur vous devriez dormir!
_Je ne le peux pas Gurney.
_Vous aurez besoin de vos forces demain.
_Et d'un esprit clair, laisse moi donc ton tour car le sommeil m'est inacessible pour le moment.
_Thufir ne sera pas content" Maugréa t'il en allant vers la tente.
Maximus fut seul et aspira l'air frais du dehors, sec et torride, sentant le silex.
L'air de Dune.L'air venant du sable.
Puis soudain le sable se souleva.
_________________

[lordmacclem]

"Tu viens du Sable
Ta tête est celle d'un Dragon
Tes cornes celles d'un bouc
Tu es Shaï-Hulud
Le Dieu-Ver"
Chanson Fremen

Avec ce bruit, Gurney et Hawat se levèrent en courant.
Ils se ruèrent avec célérité dehors et furent pétrifiés net à la sortie.
Un Ver gigantesque se tenait là, dressé vers les cieux.
En fait seule sa tête dépassait, mais elle faisait plus de 30 mètres de long.
Une voix dure comme les tempètes Coriolis en sortit.
Grave et profonde, elle semblait se faire entendre juste dans la tête du Fremen apeuré dans la la crainte religieuse qu'était Maximus à cet instant.

"Tu es LordMacclem héritier Ducal de ce monde.
Bien que ces temps soient rudes et terribles pour toi, nous avons à conférer maintenant. Nous devons parler de l'avenir de ce monde et de celui de ceux qui y vivent. Pas seulement les Fremen mais aussi les Vers des Sables, mon peuple.
Je te parle en pensées et ainsi j'ai écarté tes amis pour ne pas être dérangé. Car nous sommes les seuls à pouvoir sauver les habitants de ce monde mais pour cette planète il est trop tard.

_Comment pouvez savoir tout cela? Réussit à lancer Maximus avec toute la force de son esprit.
_Cela était écrit. Muad'Dib, ton ancêtre, et moi en avions parlé voilà de cela bien longtemps. Il percevait mieux l'avenir que moi. Un Humain remarquable. Un Enfant d'Illuvatar tel que l'on n'en verra jamais plus.
Car pour le dépasser, il faudrait de plus être humain et lui s'est arrété sur le seuil.

_Mais Shaï-Huld pourquoi me dire cela?

_Tu as deviné qui j'étais, cela n'a pa du être dur. Oui je susi Shaï-Hulud mais autrefois j'étais nommé Mandos Aïnur né de la main d'Illuvatar et seul Muad'Dib m'a appelé ainsi depuis des millénaires et des millénaires.
J'ai vu les races naitrent et refusé leur pouvoir.
Pour cela j'ai été banni et suis condanné à rester sur cet Univers.
Je suis le Dieu-Ver mais aujourd'hui j'ai besoin de toi.

_________________

[lordmacclem]

"Si un homme doit mourir, alors Shaï-Hulud le guidera jusqu'à l'endroit de son trépas."
Proverbe Fremen

Sous le choc, Maximus se jetta au sol.
La crainte religieuse entourant le Dieu-Ver est trop grande pour un Fremen.

"Relève toi donc, aujourd'hui nous traitons d'égal à égal.
Nous n'avons pas le temp pour ces stupidités religieuses, n'oublie pas que je ne suis pas un Dieu. Et rapelle toi ce que je viens de dire sur ce monde.

A ces mots Maximus se releva, pensant à son peuple qui souffrait déjà de l'attaque des Goas Ulds.

_Bien, tu comprends donc la menace directe sur les Fremen.
Mais c'est la planète entière qui est perdue et tous ceux qui y vivent.
Les Goas Ulds déterrent déjà du Naquadah en profondeur mais le noyau de la planète est trop près, ils ont entammé une réaction en chaine.
Dans moins de 3 ans ce monde disparaitra dans une explosion digne d'une nova. Si tu te bats seul comme tu voulais le faire, tu n'aurais pas la puissance de les arrêter assez vite.
Et moi j'en n'en ai pas non plus le pouvoir.

_Mais vous êtes l'égal d'un Dieu???

_Non certainement pas, le seul Dieu est Illuvatar, celui qui a créé toutes les races et tous les mondes. Et je me suis coupé de lui en refusant l'accomplissement de son Destin et pour cela, mon pouvoir n'est qu'un reliquat de ce qu'il a été car je ne peux quitter ce plan d'existence. Je suis condammé à y rester alors qu'Illuvatar et ceux qui ont accepté y vivent en félicité. J'expie ici pour ma rébellion et cela à jamais. je suis immortel mais cela n'est pas un avantage.
Nous devons être deux pour sauver ce qui peut l'être.
Mais le prix à payer dépasse l'entendement humain.
Tu es mon seul espoir de revori Illuvatar et j'ai accepté les sacrifices pour moi déjà mais toi. Pour toi, le fardeau sera plus loud que quiconque.
Muad'Dib avait vu et il a refusé de le faire connaissant le prix à payer et le péril moindre. Maintenant c'est l'ultime choix.

_Mais que proposez vous enfin? Parlez clairement je vous en prie!!!!!

_Le seul choix possible, la seule alternative:
L'Union, la Fusion. Deux esprits aux pouvoirs cumulés et présents dans un seul corps, plus forts ensemble que l'adition normale.
C'est le seul moyen de sauver ton peuple.
Ne faire plus qu'un avec Moi.
_________________

[lordmacclem]

"Pour toutes choses, il y a un prix à payer et l'on ne discerne jamais quel point cela peut être élevé"
Maximus LordMacclem


"Maintenant tu sais ce que nous devons faire.

_Mais je ne saisis pas tout.

_Nos corps ne feront plus qu'un et nos esprits vivront plus ou moins mélés .
Un ensemble, une symbiose. Ton esprit dominera car j'ai choisis de te laissser la décision mais je serai toujours là avec toi. Tout sauras tout ce que je sais, tu auras toute mon expérience et tu connaitras tous mes souvenirs.
Comme moi avec toi.
Par contre, nous ne serons plus ce que nous sommes, plus humains , ni Aïnur, autre chose, quelque chose qui n'a jamais été vu et qui surprendra.
Une race nouvelle d'hommes peut naitre si nous avions pu nous acoupler dans le futur. Mais nous allons nous métamorphoser. Le corps sera d'apparence humaine mais il changera constamment , évoluera, s'adaptera à notre symbiose. Vite, très vite, la reproduction nous sera impossible. Et les autres changements seront à venir.
Car il y a un Stade suivant.

_Mais que seront nous alors, que serais je?

_Je te l'ai dis. Une nouvelle espèce aux grands pouvoirs apparaitra.
Mais humain tu ne seras plus.
Alors que choisis tu ?
Ton humanité en échange de la survie de ton peuple?
Que dis tu?
_________________

[lordmacclem]

"L'épreuve la plus dure est de de décider qui aura la vie sauve."

Le poids d'une responsabilité sans nom tomba sur les épaules du jeune Fremen.
Choisir de quitter le courant de l'humanité pour veiller sur elle.
Un choix rude de quitter sa propre race.
Comment hésiter sur le moment si l'on peut sauver ceux que l'on aime?
Mais il faut avoir al force de le dire:
"Je... Je.....J'accepte de sauver ce qui pourra l'être.
_Par ces parôles le futur va être forgé et la galaxie apprendra à nous connaitre. Grande sera notre chute quand brilleront les Anneaux de Pouvoir.

Maximus se perdit dans le sens de ces paroles qui concernaient le présent et l'avenir. Quand soudain une tempête se leva. Non pas les tempêtes que vous connaissez mais les tempêtes de Dune, le Vent Coriolis, le Vent du Démon, le Souffle du désert qui déchire la chair et arrache les os qui atteind 800 Km/h.
Le souffle le jetta sur le Ver, source de la Tempête. Sans savoir pourquoi, il se jetta dans la bouche du Ver.
Puis tous les sons furent soudain muets, rien ne bougeait, une pression s'était abatue sur tout ce qui était là.
Et le Ver plongea dans la sable alors que les vents s'éteignirent.
Gurney et Thufir furent libérés de leur emprise, incapable de comprendre comment ils avaient été réduit au silence et ce qu'il s'était passé.
Tout d'un coup, un fracas terrible se fit entendre. le sol se perça et Shaï-Hulud ressortit, il fonçait vers les étoiles quand à la base, il commença à se désagréger, à tomber en miettes. Il se désintégra et ne fut plus que poussières. Un homme émergea des sables et lança au ciel:
_Muad Dib, je commence a payer pour toi.
A payer plus qu'aucun mortel ne l'a jamais fait.".
_________________