Developpement Empirium

[Katherine Talkesh]

Tiers livre; chapitre premier

"Les ombres se resserrent à nouveau sur moi, rien que des ombres chaleureuses, la lutte est vraiment inégale entre cette pénombre accueillante et cette vie douloureuse..."

Cette planète..., oui! J'en étais sur, j'y avait été, et pourtant je la contemplais depuis le Rédempteur maintenant. Les souvenirs me revinrent tel des flashs rapides et de plus en plus précis, un combat au pied d'une tour gigantesque surplombant la cité capitale de ce monde. Puis des accords signés, des promesses cimentée par la confiance nouée lors des combats et de très longues perspectives d'avenir, mais je ne savais plus pourquoi...

"Je t'avais pourtant dis de ne pas revenir ici, trop de mauvais souvenirs hantent ce lieu!

Je me tournai d'un geste qui me parut trop lent, puis je regardai la femme qui se trouvait devant moi, quelque chose de bizarre semblait en émaner, une sorte d'aura; puis se furent à nouveau les flashs, les souvenirs me revinrent les uns après les autres soudainement.
-Je ne peux qu'admirer la beauté de ce monde...
-Pas d'ici, viens, revenons à tes quartiers.
-Oui, on sera plus tranquille pour y discuter."

Ce n'est que durant le trajet que tout me revînt, non pas les souvenirs que je possédais déjà, mais plutôt ce déchirement soudain qui avait eut lieu alors que je contemplais la vue par la baie blindée. Tâmr avait "disparut", non pas dans le sens courant, mais il avait bel et bien été coupé de moi, je ne pouvais que sentir le lien qui d'habitude nous unissait durement se relâcher peu à peu au fil du trajet.

C'est au court de ce voyage que je pris conscience que je n'en avais plus pour très longtemps. Sans attendre j'en parlais à ma compagne qui ne pus que me prendre dans ses bras, elle partageait un peu de ce lien depuis qu'elle c'était liée à moi. Je calculais rapidement le temps qu'il restait théoriquement et je pus rapidement venir à la conclusion suivante après vérification: je n'en avait plus que pour 20 cycles galactique maximum.

Dernière édition par Katherine Talkesh le Sam 12 Mar 2005, 19:32; édité 1 fois

[Katherine Talkesh]

Tiers livre; chapitre premier (suite)

"... oui, douloureuse, mais plus de mille fois plus intriguante et intéressante que tout autre. Ou doit donc se placer notre choix entre ces deux possibilités attrayantes?

"Allons, j'espère que tu ne compte pas abandonner maintenant.

je ne répondis pas tout de suite, étant occupé à écrire le message que je comptais adresser à la galaxie. Puis une fois la connection et l'envois terminé je pus enfin reprendre le court normal de mes pensées.

-Non, jamais je n'abandonnerais la partie aussi facilement, mais je me demande ce qui aura poussé mon vieil ami a devoir partir aussi loin et aussi rapidement, ce n'est guère normal. Et de plus si le lien se brise il mourra lui aussi...
-Je suis sur que ce n'est pas sa volonté, maintenant il ne reste plus qu'à attendre que les choses se précisent afin que nous puissions monter un semblant de plan d'action.
-Regarde donc au delà de moi, si je disparaît tu hériteras de mon empire, alors il te faut désormais te préparer, ce n'est guère une cinécure.
-C'est comme si tu avais déjà abandonné tout espoir!
-Ce n'est pas encore le cas, mais si il ne reviens pas dans deux ou trois cycles c'est qu'une raison impérieuse le retient loin d'ici, et qu'il em faudra alors em alncer dans une recherche aussi insensée que folle dans la plupart des coins de cette galaxie..., je n'espère qu'une chose, c'est que quelqu'un aura une piste tangible à me proposer.
-Et bien! Fait en sorte que cela soit le cas!
-Oui, mais pour le moment je pense que nous devrions nous reposer, nous pourrons y repenser avec suffisément de recule demain, de plus le rapport du cycle me parviendra, ainsi je pourrais peut être découvrir quelques nouveaux éléments."

Elle ne répondit rien a cela si ce n'est qu'elle allait se préparer, jamais je n'avais vu avec autant d'acuité sa superbe démarche et sa sublime beauté qu'en ce moment précis. Par contre, une fois qu'elle eut disparut je ne pus m'empêcher de me demander - Et si je n'y arrivais pas cette fois...

[Katherine Talkesh]

Tiers livre; chapitre deux

"Pour chaque âme survivant aux rouages d'une guerre sans concession ni merci, il ne reste plus que lambeau de cette si magnifique conscience."

"Commandant, désolé de n'avoir pu vous rejoindre plus tôt, mais ils nous tombent dessus de tous les côtés!
-Laissez tomber vos excuses sergent. Quelle est la situation dans le secteur 2.12
-Aucune idée, nous avons été coupé et nos liaisons comsat sont toutes brouillées! Je ne p...

Je ne pus aller plus loin dans ma phrase avant qu'une explosion ne couvre mes autres mots et nos deux corps de débris arrachés à l'un des immeubles se trouvant près de là.

-Sergent, faites sonner le replis pour nos hommes qui se trouvent au secteur trois; faites tout se qu'il faudra pour que le messager puisse parcourir rapidement et en toute sécurité la distance!
-Mais c'est du suicide, personne ne voudra de...
-Moi je ne suis pas mauvais en sprint commandant!

Le soldat était apparut comme par miracle à nos côtés et ne demanda même pas quel était le message, je pus lire dans son regard qu'il savait déjà que les complexes industriels de Jerilè seraient bientôt perdus si la section n'était pas ralliée sur notre position et que notre présence ne servait en fin de compte qu'a retardé la possibilité d'un bombardement orbital sur la zone.

-Bonne chance soldat! Lui dit tout de même le commandant en lui donnant deux tapes rapides et franches sur l'épaule gauche.
-Merci quand même! Répondit-il avec le sourire.

Et il disparut dans la poussière qui encombrait sans cesse le champ de vision alors que les combats se faisaient de plus en plus rudes. Jamais je ne sus réellement ce qui lui est arrivé, mais je ne savais pas encore que j'allais le revoir deux mois plus tard...

Alors que sa silhouette aussi rapide et insaisissable qu'une ombre se fondait dans les résidus d'explosion, je me tournais vers les lignes d'ennemis qui s'avançaient en utilisant les bâtiments et passages souterrains qui leur étaient connus, contrairement à nous. Un débarquement suicidaire, mais pour une cause que tous semblaient garder à l'esprit, empêcher la mort de millions de civiles à cause de cette rébellion qui débutât dans les champs de Mars.

C'est alors que je me demandais si nous allions tous y passer que je vis venir des troupes bien mieux équipées pour le combat. Ils chargèrent nos positions et nous fûmes très rapidement obligés de nous battre au corps à corps. Ils arrivaient toujours plus nombreux, mais nous avions un meilleur entraînement, ce qui augmentait d'autant plus nos chances de survie.

Mais c'est alors que le commandant me dit de dégager rapidement de la zone avec tous les hommes que je pourrais trouver. C'est en prononçant ces quelques mots qu'il empoigna un soldat qui se trouvait à côté de lui et qu'il me l'envoya d'un geste souple et gracieux, se servant de cet élan pour trancher dans les chaires tendre d'un de nos ennemis qui l'attaquait. Je ne pus pas désobéir à cet ordre direct et alors que je regroupais nos hommes qui pouvaient encore être déplacés sans que cela ne les tue, je contemplais avec toujours plus d'horreur et de respect notre commandant lutter seul contre tous ceux qui venaient à notre rencontre.

Enfin nous pûmes partir, et son dernier geste fut de levé son pouce en l'air avant de continuer son combat. Ce n'est que lorsque nous eûmes atteint l'autre bout de la rue qu'il fut submergé, une lame dépassant de son armure, il continuait tout de même le combat, cherchant toujours à les retenir, il empoigna son assassin et l'utilisa comme bouclier alors qu'il tentait encore de combattre. Je le regardais alors tomber à genoux, poussé par l'un des assaillants. Le choc lui fit se retourner vers moi, et alors que le sang voletait en fines gouttelettes autour de lui, il trouva encore l'énergie de sourire et de me saluer. Je lui rendis rapidement son salut avant qu'il ne s'abatte sur le sol sous le regard ahurit des insurgés. Je me retournai et courus à la suite de mes hommes. Ce fut pourtant à ce moment que les renforts arrivèrent, passant au dessus de nous dans leur transports blindés...

Une douleur atroce me réveilla, je m'étais durement cogné la tête contre un des murs de la pièce, je fis vivement demi tour afin de contempler la pièce, un vrai champ de bataille. La poussière rouge et le sifflement rapide des masques de filtrage disparurent bientôt, se fondant en petit lambeaux pour prendre la forme que devait avoir la réalité.

Ce n'est qu’à cet unique moment que je pus me rendre compte que la gravité avait disparue et que malheureusement je devrais rapidement veiller à comprendre pourquoi elle avait été si brutalement coupé...

"Le commandant est demandé d'urgence sur la passerelle"

Le message flottait en face de moi, me défiant presque de le chasser de ma main. Mais je ne pus ignorer plus longtemps ce message et encore moins les alarme de collision qui venaient de se déclancher. J'enfilai mon armure et passai sans même un regard devant mon épouse qui s'équipait encore.

"Dépressurisez le secteur trois!
-Colonel, on ne peut pas...
-C'est un ordre, sinon le plasma va nous bouffer les trois ponts suivants!

Des paroles totalement dénuées ou presque de sens, je ne pensais pas qu'une alarme collision pouvait être déclanchée suite à une attaque d'arme au plasma...

-Que se passe-t-il Colonel?
-Commandant! Nous avons heurté un vaisseau inconnu qui n'avait pas de signature sur nos radars, son réacteur c'est déchiré et une bonne partie de son contenu ne pu être retenu par nos bouclier énergétiques prévus à ce moment pour uniquement arrêter des poussières cosmiques...
-Les dégâts?

Je posais la question par pur réflexe, je savais déjà que nous avions perdus deux boucliers d'armature dans le secteur trois et que 4 autres avaient étés sérieusement endommagés.
-Nous avons du dépressuriser la section trois du secteur de stockage et nous avons perdus dix hommes alors que leur secteur se dépressurisait sans leur laissé la moindre chance et vingt autres lorsque j'ais du ordonner la décompression de tout le secteur, ces vingt personnes n'eurent pas le temps de revêtir leur combinaisons de survie, mais je ne crois pas que le feu les aurait épargné.
-Où se trouve le vaisseau inconnu?
-C'est assez difficile à dire, mais il est resté encastré dans les débris des boucliers qui furent arrachés lors de l'impact. Ils ne devaient pas nous avoir vu, car ils volaient à des vitesses ahurissantes contrairement aux normes de sécurités en vigueur si près de New Terra...
-Ou alors ne les connaissaient-ils pas. Non? Envoyez immédiatement des équipe de secours, et réparez moi ce trou dans la coque au plus vite.
-Bien Monsieur.
-Et récupérez moi les corps des hommes qui sont morts! Ils ont le droit à des funérailles décentes."

Il allait falloir comprendre la raison d'une vitesse si élevée, prés de quatre fois la norme de ce secteur si fréquenté, et justement ils ce sera pris mon vaisseau à la figure alors que nous effectuions un simple crochet diplomatique par Direa...

[Katherine Talkesh]

(Le chapitre trois pour bientôt, mais évitez si possible de poster ici, c'est une partie RP très peu modulable, le post nommé "Le Temps aura donc ses limites..." est plus adapté pour vos réponses et vos questions sur le texte, et l'on pourra y engager un dialogue super dynamique une fois que plus de monde viendra se renseigner sur le forum, les questions concernant le journal que je tient ici pourront être posées sur ce dernier(-le topic que je vosu ais donné-)

[Katherine Talkesh]

Tiers livre; chapitre trois

"Un futur, nous en avons tous un jusqu'à notre mort du moins; mais en fait, si le futur était définit, ne perdrions nous pas en fait tout ce qui fait que nos actes sont importants..."


Rien, que le vide, et les lumières distantes des étoiles proches. Mais pourtant qui aurait pu croire que des objets, crées de toute pièce par la main de créatures intelligentes, s’amuseraient un jour à défier le vide qui sépare les mondes entre eux ?

Personne, sauf ceux qui eurent un jour les connaissances suffisantes pour pouvoir contempler les infinies possibilités de l’espace. Mais pourtant il n’est pas sans danger de se balader dans ce « vide », car il est souvent, encombré par de nombreux objets, semblant être là pour défendre l’accès à cet océan infini de place pour se mouvoir.

Encore une fois, il fut démontré que l’imperfection des systèmes de guidage des vaisseaux qui ne peuvent bien évidemment pas prendre en compte absolument tous les paramètres spatiaux sans devoir pour finir se bloquer ne purent éviter un nouvel accident. La mort frappa ainsi sans aucun avertissement sur deux de ces engins capables de parcourir l’espace à leur guise.

Les débris flottant négligemment dans toutes les direction attestaient de la violence du choc alors que les deux accidentés s’éloignaient peu à peu, l’un semblant hors de tout contrôle, et l’autre tentant tant bien que mal de refroidir le plasma brûlant qui rongeait peut à peut sa coque.

Alors chef, quelles sont les nouvelles ?
-C’est pas beau ici en bas, le hangar trois est désormais inutilisable, les panneaux de protection sont soudés à la coque et je ne parle pas des boucliers qui se sont fait la malle.
-Qu’en est-il de la conduite de tir principal et des systèmes de propulsion ?
-Je me vois mal ne pas être franc avec vous capitaine, le canon Prothéus de ce flanc est quasiment hors d’usage et je ne parle pas des système automatiques d’interception qui se trouvaient sur les boucliers, le 80% de ces armes défensives sont mortes, va falloir quelques jours pour remettre le vaisseau en état, mais au moins le plasma n’est plus assez chaud pour continuer de son œuvre de destruction.
-Merci chef, quel est le taux de pénétration ?
-Nous avons perdu trois sections et deux niveaux externes sont dépressurisés. On peut remettre tout cela d’aplomb très rapidement grâce aux systèmes de régénération nanométrique, mais cela va nous coûter pas mal de matériaux.
-Bien, continuez comme cela, je vous recontacterais bientôt.

Je me tournais vers le capitaine, ce dernier était absorbé par l’analyse des données relatives à la collision. Le vaisseau était arrivé de nulle part, il n’avait aucune existence, et ses marquages étaient tout ce qu’il y a de plus inconnu. Les rapport des chefs de pont arrivaient avec de plus en plus de précisions quand aux blessés et aux dommages matériels, rien de très important en fin de compte, juste des écrans brisés, une petite centaine de fractures au minimum en plus des 20 morts. Je laissais les techniciens organiser les travaux de reconstruction tout en me penchant à mon tour sur les données qu’envoyait la sonde.

Un beau navire, enfin, pour ce qu’il en restait, les boucliers avaient bien remplit leur office et avaient absorbé la majeure partie du choc. L’appareille semblait avoir été déchiré sur tout le flanc, mais le plus impressionnant était en fait sa proue, complètement déchiquetée par les contactes successifs avec tout d’abord les champs de protections énergétiques puis les boucliers et enfin la coque. L’une des structure détruite de mon vaisseau avait par ailleurs taillé une belle plaie sur le monstre spatial d’où sortait, tel du sang, le plasma chauffé à blanc d’un réacteur fissuré.

Les équipe de recherche et de secours partirent à ce moment du pont de lancement, laissant derrière eux une traîné faiblement luminescente à cause des résidus non filtrés des propulseurs poussés au maximum de leurs capacités. En temps normal ces restes étaient récupérés par la série de filtres et réinjectés dans le noyau permettant ainsi une meilleure autonomie. Deux minutes plus tard les appareilles étaient soit amarrés à la coque du vaisseau des inconnus, soit en train de tenter de réparer la fuite de leur noyau plasmatique.

Les premiers rapports par ailleurs commençaient déjà à affluer…

[Katherine Talkesh]

Tiers livre; chapitre trois (suite)

"..., eh oui! Pourquoi donc l'illusion du libre arbitre, c'est gaspiller de l'énergie, et pourquoi vivre si tout est joué d'avance. C'est comme jouer une partie d'échec alors que l'on sait que l'on va perdre en 5 coups ou gagner en 6." Tiré du grand livre de la pensée absurde.

Non, nous n'avons aucune nouvelle de l'équipe trois, ils étaient partis réparer un des générateurs...
-Merde, avaient-ils une escorte?
-Mais! Pourquoi faire, nous réparons leur...
-Mais les cons! Section Gamma, vous me rallier immédiatement la position du transpondeur de l'équipe trois!

L'homme saisi d'un mouvement infiniment rapide son arme, mais il était déjà trop tard pour le technicien qui se trouvait à sa droite, alors que le combat s'engageait en la faible pesanteur, ce dernier glissa lentement jusqu'au plafond où sont corps resta cloué. Le soldat regarda ses pieds se détacher doucement du sol et n'eut que le temps de jeter un juron retentissant lorsque le recul de son arme le propulsa en terrain découvert où il fut rapidement achevé.

"Commandant! Les unités de reco et de soutiens signalent qu'ils sont engagés dans des combats à l'intérieur du vaisseau...
-Envoyez les renforts, mais dites leur d'utiliser tout d'abord des armes tranquillisantes
-Mais! Monsieur c'est un grave handicape et...
-Pas de discutions Lieutenant. Quitte à sacrifier des vie, j'aimerais que se soit pour en sauver."

Le chaos s'empara d'un coup du centre ops, la communication devint réellement instable à cause de la surcharge soudaine du réseau, mais l'I.A. équilibra rapidement les liens de connexion et le système pu retrouver toute son efficacité. Les transport de troupes se dirigèrent vers le vaisseau inconnus et la frégate de soutient se trouvant non loin de l'épave changea de route afin de s'éloigner un peu de cette ombre devenue une possible menace pour la frégate non armée.

Ce n'est que 20 minutes plus tard que tout se calma à bord de l'étrange appareille, les ennemis avaient pour la plupart rejoins le pays des rêves et étaient transférés sur le Rédempteur en vue d'être installés confortablement et sous surveillance dans l'un des quartier servant généralement au ravitaillement des rescapés de missions de sauvetage.

C'est grâce à une I.A. de niveau C que l'on pu se débarrasser de ses ennemis tenaces avec des gaz apaisants, il aura suffit de 10 minutes à cette petite unité de soutient au commandement mobil pour que les codes de sécurité étrangés soient brisés et pour que les systèmes de survie du vaisseau puissent être utilisés à bon escient.

Je rejoins le plus rapidement l'aire d'arrivée où se massaient les soldats blessés, des techniciens enlevant les plaques d'armures perforées et maîtrisant les hémorragies avec de la mousse biochimique et des kits de nanosoint. Les "prisonniers" totalement euphoriques furent doucement emmenés par quelques soldats et médecins vers leurs nouveaux quartiers temporaires.

J'ordonnais au médecin chef de l'équipe de m'avertir lorsqu'ils sortiraient de leur torpeur afin que je puisse moi même procéder à leur interrogatoire.

[Katherine Talkesh]

Tiers livre; chapitre quatre

"La réponse peut très bien, en elle même, cacher une question, être attentif à ce fait pourra sûrement vous servir."

Toujours ce même paysage, toujours ce même rêve. Je devais certainement en avoir raz le bol de savoir jusqu'où j'avais été capable d'aller lors de batailles passées. Ouais, ce devait être cela, même reposé les même pensées revenaient pour m'assaillir encore et toujours.

Une ombre se battait à chaque fois dans ces paysage magnifiques tous sans exception parcourut par les tirs d'armes à rayons ou les traînées de missiles antichar. Tout à chaque fois semblait se passer au ralentit, mais cela n'est en fait du qu'a l'éloignement de mon point de vue par rapport au spectacle; mais, fait étonnant, j'avais à chaque fois l'impression d'être au coeur de cette tourmente.

"Ah! Tu t'en rend compte enfin!
-De..., vas-t-en!
-Alors là tu peux toujours courir, jamais je ne pourrais partir, tu es ici parce que j'y suis.
-C'est impossible, tu ne peux exister, j'ai... je t'ai fait disparaître il y a deux mois!
-Bah! Tu ne peux pas te débarrasser de moi. Tu n'espérais tout de même pas que j'allais rester en retrait après un coup en traître aussi bas?
-Ah?! Et pourtant je t'ai fait partir, un petit moment peut être..., mais je vais vite rectifier le tire.

Je me jetais sur lui de toutes mes forces, mais il était agile, il évita aisément mon coup et se mis rapidement hors de portée d'un possible enchaînement.

Son regard transpirait la froideur logique de quelqu'un sur de son fait, mais se rendait-il compte qu'en me tuant il se tuerait lui-même? Je ne pensais pas que tout pouvait dégénérer à ce point.

-Arrête, tu es fou! Sais-tu ce qu'il va se produire?!

-Il a osé! Il a osé!- Cette pensée me trottait en l'esprit, oui, il avait osé s'adressé à moi et me traiter de fou! Il n'allait pas pouvoir s'en tirer ainsi, non aucune chance que je puisse laisser passer cette injure. Cette fois-ci il ne s'y attendait pas, je lui fauchais les jambes et il se retrouva au sol, a peine l'eut-il percuté que je le frappais déjà.

-Tient!... C'est bien plus simple que je ne le pensais... de te régler ton compte erreur de la nature...
Je bloquais tant bien que mal son dernier coup, recrachais le sang qui envahissait ma bouche, projetais mon assaillant en arrière et lui enfonçais mon talon dans les côtes.
-Bien! Je la sens jusqu'ici!

Et il riait, il riait de mon trouble, oui, mon bras tremblait de colère, oui, il était impatient de lui faire voir à nouveau de quoi il était capable.

-Non! Tu ne peux!
Ne rêve pas éveillé mon petit, tu es en train de perdre, mais vois le bon côté des choses...
-Jamais je ne laisserais ma place au meurtrier de Mars, au destructeur d'Iopha, au commandant de l'extinction des Xéryons...
-Ce n'était ni moi ni toi, ce n'était en fin de compte que nous...

Une drôle de présence semblait flotter tout autour de moi, j'étouffais, je n'arrivais plus a respirer, j'essayais en vain d'inspirer de l'air, mais alors que je sombrait certainement en l'inconscience, je remarquais qu'il n'y avait plus de décors, plus rien...

Mes mains touchèrent une surface lisse, mais je ne voyais qu'un voile orangé et trouble, rien de concret, juste cette présence inexplicable en face de moi, autour de moi. Puis, d'un seul coup, le voile disparut, me laissant retomber au sol, me laissant à nouveau voir mon univers. Je me trouvais dans l'une des chambres de réveille de stase, mais...

Je recouvrai mes esprits d'un coup, tout me revînt si vite que je chancelais sous le choc. Le retour à la réalité ne m'avait pas été aussi dur depuis beaucoup de temps, l'absence de Tâmr et le lien se désagrégeant entre nous devait en être la cause. Néanmoins je parvenais à le maintenir en état grâce à ces séance de stase, même si elles entraînaient souffrances et désorientation au réveille.

Je regardais attentivement durant un laps de temps dont je n'eux pas conscience les tendons jouer sous la peau de ma main, et animer ce membre porteur de promesse; et de mort si jamais l'occasion lui en était donné. L'autre avait enfin disparut, j'allais pouvoir continuer de vivre, malgré la souffrance et la crainte de l'annihilation.

[Katherine Talkesh]

Tiers livre; chapitre cinq (part. 1)

"L'illumination ne viendra d'aucun de nous si personne ne croie en la possibilité d'une rédemption..."

" Maître ! Le vaisseau qui a tenté de nous éperonner…, il porte la marque de Khorne !

Je me tournai vers le nouvel arrivant d’un geste sec et le priais de s’expliquer le plus clairement possible. Il continua donc sa phrase après s’être calmé :

-Cela semble idiot, mais je vous assure que la marque du démon Khorne se trouve sur cet appareille.
-Khorne ?! Pourquoi ?
-Aucune idée maître, il va nous falloir aller interroger les membre de l’équipage pour ne être sur.
-Allons-y. "

Alors, ainsi nos mystérieux éperonneurs avaient donc un but précis avec cette collision. De toute manière j’allais rapidement en avoir el cœur net, et en effet il ne fallut pas beaucoup de temps avant notre arrivée devant la porte pour que quelque chose me frappe, si Khorne avait marqué ce vaisseau, cela voulait dire qu’il provenait certainement des chantiers d’Archonte.

Le lieutenant apposa sa main sur le capteur thermique et après avoir enfoncé sa clef dans le réceptacle holo, il prononça le code d’ouverture. La porte coulissa sans un bruit, révélant une rangée de soldat se tenant fièrement face à l’ouverture. Leurs exosquelettes me rappelaient vaguement quelque chose pourtant.

"Ils n’ont pas prononcé une parole depuis qu’ils sont dans cette pièce commandant.
-Bien, restez ici, je vais partir à la recherche de leur chef.
-Mais…
-Vous assurerez mes arrières.
-Comme il vous plaira."

Sur ce je m’avançai de quelques pas et contemplais les êtres se trouvant face à moi. Aucun d’eux ne semblait porter la marque du démon, pourtant selon les dire du lieutenant ils étaient sensés appartenir au démon Khorne. Je m’approchais d’un pas presque trop lent de l’un de hommes formant la ligne, puis me tournais à moitié vers le lieutenant avant de saisir le plus proche au cou et de le soulever. Aucune réaction de ses compagnons, et pourtant généralement il pourrait au moins y avoir un coup d’œil dans notre direction, mais non… rien…

" Alors, qui es-tu donc ?

La par contre la réaction des autres fut manifeste, ils s’attendaient certainement à ce que je le tue sans même y réfléchir par deux fois. Mais pourtant celui que je tenais en mon pouvoir ne dit pas un mot.

-Bien ! Comme tu voudras mon petit, mais peut être ne reverras tu jamais le jour.
Je le lâchais et le laissais tomber au sol avant de me retourner et de partir d’un pas rapide vers la porte.

-Lieutenant ! Fermer moi cette porte, et pitié…, perdez la clef.
-Si je puis me permettre ce n’est peut être pas une très bonne idée.
-Bah, Khorne à du en faire des coquilles vides. Elles ne serviront plus personne ; nous els déposerons au passage sur Terra.
-Bien compris commandant.

Mais, alors que la porte se refermait, l’un d’entre eux se décida à parler, aucune surprise en fin de compte. La porte se verrouilla et je fis mine de ne rien avoir entendu en m’éloignant gentiment. Le lieutenant essaya de m’en empêcher, mais ne parvint qu’a se faire rembarrer une fois de plus. Ce n’est que deux minutes plus tard avec une armure un peu moins imposante que le scaphandre réglementaire que je refis mon apparition. Le lieutenant, en me voyant arriver prépara l’ouverture de la porte, et à peine fus-je à un pied de la porte que celle-ci coulissa dans la paroi, ne laissant en face de moi que quelques silhouettes indistinctes qui s'animèrent d'un coup en voyant les battants de la porte s'écarter.

L'un d'entre eux s'approcha de moi d'un pas lent, puis s'inclina. Les autres qui étaient présents le regardèrent ahuris, mais finirent par faire de même.

"Ainsi notre pilote avait bien calculé notre trajectoire...
Je le regardais se relever, ses hommes l'imitèrent, mais restèrent en retrait.
-Nous qui pensions avoir manqué notre saut! Nous voila face à celui dont nous n'espérions pas la rencontre durant nos vie!
-J'ai du mal à vous comprendre..., si vous m'expliquiez?
-Tout d'abord je n'aurais qu'une seule question: Sommes-nous bine à bord du Rédempteur, le vaisseau amiral de la flotte du seigneur Méhodwor?
-Oui, mais...
-Menez-nous à lui, il faut impérativement que nous lui parlions.
-Vous l'avez face à vous.

Il eut l'air surprit, mais cela ne dura pas, il continua donc.

-Dans ce cas, tout à commencé il y a 2 cycles quand..."

[Katherine Talkesh]

Tiers livre; chapitre cinq (part. 2)

"..., mais cette dernière ne pourra être acceptée que si il est d'accord commun que tout doit être oublié ou pardonné."

Il eut l'air surprit, mais cela ne dura pas, il continua donc.

-Dans ce cas, tout à commencé il y a 2 cycles quand notre empire fut attaqué par les hordes sanguinaires du Démons Khorne, mais je ne pense pas que vous le connaissiez. Bref, je poursuit, malgré les effort de la caste du feu, les vaisseaux de guerre commandé par le chien de guerre de ce démon pénétrèrent de plus en plus profondément en notre empire.

Pour finir, le jouet Archonte a finit par prendre Tau'n, puis Tau..., Notre gouvernement tomba, l'unité qui nous rendait fort autrefois s'évapora et le chaos pris possession de nous. Les éthérés qui nous garantissaient la résistance face au contrôle qu'imposaient les marques furent traqués et massacrés. Il n'en reste plus beaucoup et ces derniers sont cachés soigneusement dans les anciens bunkers au préalable effacés de la mémoire de tous nos réseaux d'information.

Il y a deux cycles comme je vous le disais, l'un de ces derniers bastions fut découvert et rasé depuis l'orbite. Il apparut urgent à notre chef de quérir du secours, ou sinon, bientôt, notre race allait périr, subjuguée par l'influence du chaos et luttant pour notre plus grand malheur et le plus grand bonheur de ce démon sanguinaire.

Notre groupe pris possession d'un véhicule de patrouille, infiltra l'astroport et pirata l'un des vaisseaux de liaison de la flotte d'Archonte. La suite, vous la connaissez, il est évident que par la suite, nous avons effectué un saut et que malencontreusement nous sommes arrivés droit sur votre vaisseau à la suite de notre 6ième bond."

Je réfléchis un instant, puis ordonnais la libération des prisonniers, cela par contre ne sembla pas les surprendre le moins du monde. Celui quis emblait être le chef d'expédition me suivis jusqu'au centre de commandement où je découvris avec effroit que le territoire contrôlé par les 4 démons du warp s'était dangereusement étandu depuis mon dernier contrôle.

Les recherches prirent deux jours, mais ce ne fut que bagatelle. Il me fut facil de prendre ma décision, nous allions commencer par effectuer un bon avec l'hyperpropulseur expérimental que nous avions finit d'adapté à nos générateurs quantiques. Mais il fallait d'abord aller chercher quelques troupes suplémentaires en vu de la libération des mondes de l'empire Tau...

(La suite pour bientôt)

[Katherine Talkesh]

Tiers livre; chapitre cinq (part. 3)

"La vie nous crée, mais elle est la seule qui soit capable de nous briser, il est bien plus douloureux de vivre que de quitter la vie."

-Seigneur Méhodwor, nous sommes votre débiteur, l'empire Tau vous doit liberté et de plus sa grandeur d'antan ou au moins l'espoir de ce retour.
-J'espère pouvoir vous comptez au rang de mes alliés inconditionnels.
-Vous pouvez y comptez, notre conseil se range au côté de votre sagesse, humain, Mais ce sera bien la première fois, j'espère que vous oeuvrerez pour le bien universel...
-J'espère que vous pourrez m'être de bon conseil éthéré, je ne refuse pas les sages au nombre de mes conseillers les plus proche, je vous y invite d'ailleurs avec joie! Prenez trois des votre et installez vous sur New Terra, vous pourrez aider à l'administration de mon empire.
-C'est trop d'honneur, nous ferons donc ainsi. Je vous souhaite bonne chance dans votre quête contre le chaos.
-Bon voyage à toi et à tes frères."

Il se tourna et quitta le pont de mon navire, je restais là à contempler la capitale de Tau reprendre vie peu à peu avec le levé du jour, j'avais remis sur pied un empire, et pourtant je sentais déjà mes forces me quitter. Je devais retourner en stase le plus rapidement possible, et pourtant! Jamais je ne m'étais sentit aussi bien... -Tâmr, pourquoi donc m'as tu quitté?-

Je n'espérais aucune réponse, ce n'était qu'une question destinée à exprimer mon sentiment de perte. Mais à ce même instant je sentis clairement une présence derrière moi.

-Alors Katerina, comment trouves-tu ce monde?
-Vous m'avez toujours dit père que jamais il ne fallait se fier à la beauté d'un paysage pour en tirer des conclus...
-Katerina! Ma chère enfant, là n'est pas la question, tu dois aussi pouvoir apprécier la beauté des choses, sinon que défendras-tu lorsque tu recevras ton titre d'impératrice?
-Père, jamais je ne pourrais... Vous êtes immortel!
-Personne ne l'est ma chère enfant, non vraiment personne. J'ais frôlé la mort de très nombreuses fois, tu le sais bien.
-Père, je ne comprends pas, je n'ais que 6 ans!
-Pourtant, vois tu ma petite, même si tu n'as que ces 6 ans en temps subjectif, Tâmr aura pu faire quelques petits miracles, en te transportant dans son univers durant ces deux dernières années, il s'en est écoulée 20 pour toi alors que pour nous seulement 2 ans ce sont passés. Je regrette de ne pas avoir pu t'accompagner, mais deux ans!
-Je sais père, vos obligations!
-Je sens de l'amertume dans cette voix, serait-ce déjà de la peine? Tu fus coupé de notre amour durant de très nombreuses années, mais tu auras reçus en retour une plus grande sagesse que celle que ta mère et moi même aurions pu t'apprendre durant ces deux années.
-Tu m'as abandonné à ces ombres! Tu… Maman...! Rha! Vous en pouvez comprendre, j'ais vécu tout ce temps loin de vous, me sachant pourtant en sécurité..., mais pourquoi donc!

Je la laissais se vider de sa rage, pas un jour ne passe sans que je ne m'extasie devant sa beauté, ma femme devait en faire de même, qui ne pouvait être plus fier que nous de cette fille... mais sa peine, oui sa peine je la sentais m'entourer, m'envahir, j'étais sans défense, elle avait hérité de mes dons d'empathie; et donc devait savoir que j'étais désolé avant même d'avoir à le savoir.

-Tu te souviens des attentats?
-Quels attentats?
-Ceux qui eurent lieu sur Direa le jour de tes 3 ans, ta mère avait refusé de m'entendre, elle trouvait que c'était un signe m'a supplié de t'emmener à l'abri, elle n'apprécierait pas du tout que tu sois en ma compagnie, elle trouve toujours que j'ais une vie trop dangereuse pour le rang que j'occupe.
-Elle n'a pas tors, il suffit de te voir t'entraîner pour être fixé sur ton expérience du combat.
-Ne plaisante jamais avec ça Katerina, mes hommes sont avant tout des gens qui sacrifie jusqu'à leur existence pour la grandeur de leur idée, ce n'est que de l'abstrait, mais je me dois de rembourser ma dette au mieux, les soutenir et partager leur sort est la meilleurs façon de leur prouver qu'ils ne font pas cela pour une personne qui n'a pas de coeur et qui ne se préoccupe pas de leur volonté.
-Dites père..., mère est-elle au courant de vos actions ici? Vous êtes retourné au combat n'est-ce pas?

Je le savais et pourtant j'étais aveugle, nous pouvions lire chacun dans l'autre comme dans un livre, il allait falloir que je retrouve mon épouse afin de l'aider à surmonter cette épreuve, je sentais ma mort s'approcher, rien de plus, rien de moins. Notre fille semblait s'en être aperçus également.

-Non, je n'y suis pas retourné, j'ais vu mes hommes mourir, c'est leur volonté que je reste derrière, ils veulent me protéger alors qu'ils ne peuvent se protéger eux-mêmes. J'espère que tu les respecteras jusqu'au plus profond de ton âme ma fille, ils ne sont pas la force brute de notre empire, ils sont son âme, ils représentent les espoirs de tout cet empire.
-N'est-ce pas l'administration qui gère l'empire?
-Ils sont son coeur, son bras est l'armée, et son moteur est la volonté de construire quelque chose défiant les rêves des plus fous parmis les idéalistes.
-Mais pourquoi moi?
-Tu est mon héritière directe et tu es assez grande pour assurer la relève, ce passage dans l'univers parallèle m'aura bien servit en fin de compte, si jamais je disparaît, je saurais que ces hommes ne seront pas sans guide. Maintenant il ne te reste plus qu’à trouver ton coeur et ton centre.

Tau était en train de disparaître dans le néant, se fondant avec l'arrière plan étoilé, nous partions encore plus loin dans ce territoire hostile gouverné par les forces du chaos. Et pourtant tout semblait si calme... Katerina croisa ses bars contre son ventre et frissonna, je devinais son trouble, elle venait de découvrir que sa vie allait être très dure, tout comme la mienne avait été.

-Tu penses que je pourrais commander le prochain détachement qui sera envoyé sur Bimoda?
-Si tu le veux ainsi, mais fait très attention à toi, je ne veux pas perdre la seule sécurité qu'il reste à cet empire avec ta mère. Je la laisserais s'occuper de la politique, elle est très douée pour cela, mais par contre, toi, je sens que tu feras un très bon commandant. Le Rédempteur sera à toi, mais attention! Tu es sous les ordres de l'administration de l'empire, ne l'oublie jamais!
-Ils ne sont...
-Peut être pas toujours très utile, mais sont le coeur de ta force, ils sont ton noyau, maintenant trouve le centre qui ira mettre du sens dans tout ceci. Puisses-tu le trouver sur Bimoda, cela t'évitera une trop longue recherche mon enfant."

Elle s'éloigna lentement de sa démarche assurée, bon sang! Qu'elle me rappelait mon ancienne épouse, bien avant Fyr'laeh. -Elle deviendra impératrice un jour, dès que Fyr'laeh perdra la vie, mais tu sais bien qu'elle ne pourra peut être pas supporter ta disparition mon ami... ouais, si je meurs mon épouse risque bien de me suivre dans la tombe.-

(HRP: bonne lecture:HRP)

Dernière édition par Katherine Talkesh le Mer 08 Juin 2005, 19:58; édité 2 fois