Developpement Empirium

[Ulenspiegel]

La livrée de cérémonie de votre serviteur Thiel Ulenspiegel:

Des souliers de cuir cordouan, pointus du bout dont le nom est houseaux.
Des chausses de soie dorée, nouées aux braies par un cordon discret.
Des braies de soie pareillement, n'allant pas plus bas que le jarret, ceintes sur les hanches au moyen d'un ceinturon à demeure appelé braïer. Les manches en est la seule partie apparente, attendu que le corsage et la jupe disparaissent entièrement sous le surcot.
Le surcot est sans manches, de drap marbré de Flandre, sa forme est celle d'une grande robe taillée droite et fermée comme un fourreau. Des fentes sont disposées autour de l'encolure, sur les épaules et sur la poitrine, pour faciliter le passage de la tête lorsque l'on met son surcot ; car il faut s'y prendre comme font les femmes pour passer leurs robes. Ces fentes, garnies de boutonnières et de boutons, se ferment ensuite. D'autres fentes pratiquées par le bas ont pour objet d'assurer la liberté de mouvement des jambes, soit qu'on eût à courir, soit qu'on voulût monter à cheval.
Une houppelande entaillée, menuement brodées en bandes cramoisies, de velours vert, elle est courte, si courte qu’elle couvre à peine la naissance des cuisses. Elle est brochée d'or à grands ramages et fourrée de renard. On n'en voit point le collet, caché qu'il est par une double collerette de velours noir, garnie par le haut d'un passe-poil en tournure qu'on prendrait pour une fraise. Le collier d’Ulenspiegel, qui est une chaîne avec pendeloques, fermée par un grand médaillon en carmine ; sa ceinture, formée d'un carcan d'or avec breloques qui y sont assujetties par des bouts de chaîne.
Un baudrier avec franges et broderies, en fait une bande d'étoffe travaillée à l'aiguille et cousue diagonalement tant sur le corsage que sur la jupe de la houppelande. Le nom de cet objet est bien connu : c'est l'écharpe que les dames brodent de leurs mains pour les chevaliers, et que les chevaliers portent pour l'amour des dames. La mienne porte le nom de la Dame Tetsuda Owen.
Le couvre-chef est un chaperon, il consiste en une longue bande d'étoffe dorée en partie roulée autour de la tête, en partie retombant sur l'épaule. On retrousse et on met en évidence, sous le nom de patte, le bout de la partie roulée. La partie retombante s'appelle cornette.
En laisse à mes côtés, le chien Bibulius Schnouffius, asthmatique et pétomane.

[Ulenspiegel]

Le costume du Khan Alphecca.

Sa tenue n'avait rien de militaire. De loin, on aurait pu croire qu'il portait un costume à redingote classique. Mais lorsqu'on s'approchait, le tissu immaculé de sa chemise laissait en réalité éclater de nombreuses couleurs furtives et mouvantes sous les lumières chatoyantes de la salle. La coupe souple et parfaite de sa veste noire laissait apparaître par intermittence ces infimes étincelles colorées et chaleureuses. Elles semblaient offrir comme en récompense le plaisir subtil de leur découverte aux seuls observateurs attentifs, soucieux du détail.

Sous sa veste encore, Khan Alphecca portait en bandoulière une magnifique écharpe de soie orange. Cette soie d'une qualité exceptionnelle avait été obtenue grâce à (ou à cause de?) ses propres scientifiques. Suite à un expérience ratée d'adaptation des larves aux faibles pressions atmosphériques, une espèce mutante de vers à soie avait vu le jour dans ses technolabs. Les larves atteignaient rapidement une taille impressionnante, presque celle d'un gros chien, ce qui les rendait assez encombrantes, mais elles produisaient une soie si douce, si résistante (et paradoxalement si fine !) qu'Alphecca intervint personnellement pour poursuivre leur élevage. Ces vers malheureusement, avaient tendance à s'enrhumer très vite, les services sanitaires de son vaisseau étaient constamment occupés à soigner ces bêtes. On raconte même que certains ouvriers de valeur avaient trouvé la mort en récoltant la précieuse soie, se trouvant sur la trajectoire malencontreuse d'un éternuement soudain.
Bien que personne ne vît l'intérêt de continuer à élever des larves que leur faible système immunitaire condamnait à sombrer au cimetière de l'Evolution Naturelle, Khan Alphecca était fier de sa trouvaille, dont il considérait l'inutilité comme le comble du luxe. Il portait donc fièrement cette écharpe unique au monde.

[Apocalypse]

La tenue d'Apocalypse et de Dame Omega [hrp=on]Omega ne compte pas[/hrp]

Apocalypse, depuis son retour parmi les vivants, avait finalement laissé tombé le port de sa vieille combinaison multifonctions qu'il usait jadis. Elle était quelque peu...Sith, en fin de compte.
Pour le banquet, il avait opté pour une longue robe bleu marine. Une capuche ouverte ornait les épaules de celle-ci, fidèle à la tradition des ouvreurs de la Force. La taille était cintrée par une lourde ceinture d'un très ancien cuir, provenant d'une créature oubliée depuis des générations. Malgré le coût prohibitif de celle-ci, Apocalypse l'aimait beaucoup. Le long du cuir étaient cousu des petits rangements forts utiles. Et la boucle de platine arborait fièrement l'insigne Oryxien, étincelante à la moindre lumière. C'était un symbole politique: les Oryxiens ne se cachaient pas.
Il portait une paire de longues bottes, dépassant la hauteur du genou, et échancrées largement, si bien que le col de chaque botte redescendait en partie, comme une fleur ouverte. Entre les bottes et la robe portée comme une tunique, on ne voyait pas le pantalon d'officier militaire. Par dessus, Apocalypse avait fixé une très lourde cape de satin blanc, qui encadrait son buste d'un air parfaitement arrogant. Ses longs cheveux bruns et argentés étaient maintenus par une coiffe traditionnelle.
Il portait, comme à l'accoutumée, ses deux sabres. Pas en signe belliqueux, bien entendu. Mais quel que soit son rang, un Oryxien ne s'en séparait jamais.

Omega avait opté pour plus de légèreté; elle était vêtue d'une robe vert sapin très...flottante. Les pinces au niveau des épaules et de la taille rendaient la robe plaquée sur le corps, moulant les formes parfaites de l'elfe. Ses cheveux flottaient librement, comme toujours, encadrant son profond regard centenaire.
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Maître Apocalypse

[Haldar Olath]

Le Seigneur Elfe Noir Hal’dar porte fièrement sa tenue d’apparat, celle qu’il utilise pour les grandes cérémonies officielles.

La première chose qui attire l’œil est le célèbre piwafwi des Elfes Noirs : une sorte de cape à capuche. Celui du Seigneur Elfe Noir est tissé dans la plus fine soie de la célèbre Cité de Fey Eryndynn. Sa couleur est changeante suivant la lumière environnante passant d’un noir aussi Sombre qu’une nuit sans lune au plus profond des Abysses au bleu roi venant rappeler la couleur de la Maison Royal du Seigneur. La légende prétend que le Piwafwi du Seigneur Hal’dar Olath avait été tissé en incorporant dans le tissus des Fils de la Déesse-Araignée Lolth Elle-Même, ce qui fait de ce vêtement sans doute le plus aimé aux yeux de l’Elfe Noir et représente pour lui une marque forte de sa foi envers sa Déesse.

Lorsqu’il rabat sa capuche en arrière, la longue chevelure argentée de l’Elfe Noir est maintenu par un serre-tête de fils d’or entremêlé de fil de platine.

Sous sa fine cape, et caché en partie par une élégante chemise de soi chamarré bleu nuit, L’Elfe porte une maille des plus légères et pourtant si résistante du métal le plus précieux de cette partie de la galaxie, le mithril !!! Elle est aussi brillante que la lumière de la Lune lorsque celle-ci était pleine ! Des motifs en platine sont cousus dessus notamment une série de rune Elfique. Une autre légende prétend que cette série de rune donne à cette chemise en maille des pouvoirs magiques et surnaturels et il est vrai que certains tirs de blasters furent purement et simplement « absorbés » par les runes !! Enfin, c’est ce que prétendent certains vétérans des Guerres Chaotiques !

Au cou, une fine chaine d’un métal inconnu supporte le Symbole de Lolth, rehaussé d’une multitude pierres précieuses.

A la taille, une large ceinture sombre, faite dans le cuir d’un des derniers Dragon Bleu. On arrive encore a distingué dessus de larges écailles, ainsi que par-dessus quelques poches cachées dont seuls les Elfes Noirs ont le secret. Le fermoir étant évidement une boucle en platine représentant un Dragon Bleu, armoirie de la Maison Royal du Seigneur.

De part et d’autre pendent deux Cimeterres de fabrication Elfe Noire, qui surpasse par la légèreté, la finesse et l’efficacité les armes bien qu’efficace mais ne possédant pas cette maitrise de la beauté des Nains ! Leurs pommeaux faites dans de l’Adamandite, prolongé par deux lames incurvées d’un métal proche du mithril, de la carmine ?, ornée de runes dorées dont seul le seigneur connait la signification. En effet, les runes sont dans un langage aussi ancien que la nuit des temps : du Draconique ! Une dernière légende prétend que le métal a était trempée dans du sang de dragon, un des derniers Dragon Bleu sans doute le même que la ceinture, et c’est un puissant mage qui a fait apparaitre les runes en enchantant les lames en Draconique ! Mais, aussi belles qu’elles fussent, les deux lames n’en demeurent pas moins redoutables et efficaces. Surtout dans les mains du Seigneur Hal’dar, qui non seulement était ambidextre comme bon nombre d’Elfe Noir mais avait acquis la maitrise des plus grands maitres d’arme et obtenu auprès de la Princesse de Guerre le rang de « Danseur de Lame ». De plus, grâce aux pouvoirs magiques des lames et à sa maitrise il pouvait les utilisé en les projetant vers ses adversaires, les lames revenant immanquablement une fois la cible touchée dans ses mains ganté.

Gants d’une grande sobriété mais qui ne doit pas faire oublier qu’elles sont faite en peaux de Rhemoraz , ces espèces de vers des profondeurs aussi imposante qu’un Rothé douées de pouvoirs psychiques qui en font de véritables tueurs. Elles sont si fines que l’on a l’impression qu’elles offrent au Seigneur une seconde peau. Elles se perdent ensuite dans deux pièces de cuir protégeant les avant-bras. Pièces servant aussi bien de décoration que de protection

Enfin, un pantalon noir cousus de fils de platine aussi beau que fonctionnel complète la tenue en dissimulant une partie d’une paire de botte. Paire de botte qui arrive jusqu’au dessous du genou, et semble faite dans un cuir aussi résistant que souple. Elle donne à la démarche du Seigneur une grâce et une légèreté toute féline temps on a l’impression que les pieds effleurent à peine le sol.

[Horeus]

Elégance.... Concept inconnu, en cours d'acquisition......
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Au cœur de l'Insondable, je veille.....

[Ulenspiegel]

La charmante tenue de la Signorkine Nyx:

Une robe soignée et simple ; le décolleté de cadis noir au drapé subtil et délicat masquait le tissu diaphane céruléen qui flottait légèrement à quelques envolées de la peau, dévoilant puis brouillant les fines rondeurs charnelles finement duveteuses de la porteuse de cette robe.
Les plis des pans de la tenue sublime volaient et voletaient au grès des mouvances pantomimiques mais la tenue de la gorge, sombre et profonde était toujours parfaite, mise en valeur par le noir de jais, ses protubérances galbées par l'empilement dual.
Le regard, attiré par l'éclat des pierres soulignant le décolleté, voltigeait de découvertes charmantes en découvertes honteuses, montant et descendant au rythme de ses palpitations. Souvent gêné, son propriétaire complétait la gamme de couleur par le rose du charmé ou le rouge de la honte.

[Ulenspiegel]

La monstrueuse apparence du Signork Horeus:

Comment décrire cette créature ? Sinon en la définissant comme une monstruosité, une créature nimbée d’iridescentes couleurs écoeurantes et mouvantes. Elle était gigantesque, démesurée, un assemblage écailleux surmonté d’une tête aux formes tentaculaires, qui apparaissaient et disparaissaient au grès d’une volonté farouche. Deux ailes diaphanes, immenses et arachnéennes semblaient dénoter, tant elles paraissaient fragiles comparées aux membres puissants armées de griffes acérées et mortelles.

Mais ce que l’on retenait de cet Etre, était les deux immenses amandes oculaires, deux puits profonds de noirceur ensorcelants, insondables et abyssaux. Ils hypnotisaient le regard, asservissaient la volonté, laissant l’âme à nue, sans défense…

[Saturninus]

Souhaitant être digne sans vouloir s'imposer, l'empereur Saturninus n'est venu qu'avec une suite réduite, composée d'une dizaine de serviteurs, et d'autant de courtisans.

Fier dans sa sobriété, l'empereur porte la traditionnelle toge blanche impériale. Sur son front, une fine couronne de Carmine, d'un rouge brûlant, éclaire sa peau fine et nacrée. Dans son dos, du même rouge, brille le phénix, symbole de La Fédération et de la Légion d'Honneur Romane.

A ses cotés, quatre gardes, deux hommes et deux femmes à la peau de couleur bleu nuit, portent la toge rouge. Sur leur hanche droite, un glaive vibre doucement, et leur main gauche tient fermement une bannière portant l'estampe de l'empire Roman.

Autour de ce groupe enfin, les serviteurs et courtisans piaillent joyeusement, offrant des mets sucrés et des bijoux de pyroven aux membres des autres délégations les entourant.

[Ebola]

Le magnifique uniforme militaire de parade du Major Ebola, qu'il ne revêtait que pour les événements d'une telle importance (et aussi pour quelques strip-tease tant les jagonnes sont sensibles au charme de l'uniforme, mais c'est une affaire privée), était composé de divers éléments intelligemment agencés et parfaitement accordés. Les dit éléments témoignaient à la fois de l'appartenance du Major a l'Empire, a son rang de Major, et à sa fonction de diplomate. Mais aussi et surtout, l'habit était en fait un uniforme traditionnel militaire jagon. Cet uniforme traditionnel, éminemment culturel, renvoyait a des millénaires de pratiques guerrières jagonnes, depuis les chevauchés des grandes hordes disparues, a dos de chevamaux a travers les steppes hostiles, aux formidables embrasements spatiaux de méta-croiseurs interstellaires jagon fendant l'espace infinie dans la fureur de la guerre spatiale civile jagonne, en passant par la boue et la neige des tranchées des guerres de la Grande Lacération qui ont bouleversées, a leur époque, les paysages de la planète natale entière du major Ebola. Voila a quoi renvoyait ce costume.
Il était composé, pour marquer l'appartenance a l'Empire, d'une cape noire à la doublure rouge sang, frappé du sigle de l'Empire. La couleure rouge rappel le sang versé des frères d'armes, que l'ont ne souhaite pas oublier et que l'ont porte prés de soi, tandis que le noir symbolise le deuil que l'ont porte pour ses ennemis tués au combat. Le grade de Major était indiqué par les épaulettes caractéristiques: les trois bandes dorées et l'aigle impériale. La fonction de diplomate était indiquée par un simple petit écusson porté sur le cœur: une tète de loup hurlant a la lune sur fond jaune. Il s'agissait en fait, dans le même temps, de l'insigne personnel d'Ebola, son blason, dont tout ses vaisseaux étaient frappés. Mais avec le temps l'insigne avait été associé a la fonction de diplomate. Ceux qui voient la tète de loup hurlant sur fond jaune reconnaisse le diplomate de l'Empire.
Enfin, le fameux uniforme militaire traditionnel en lui-même, qui n'avait que très peu changé depuis des millénaires, était en fait composé d'un simple sac de toile jute grossière tressé, avec un trou pour la tète, deux pour les bras, et quatre pour les jambes.
Cet uniforme, bien qu'ancestral, n'était pas a proprement parler seyant...il était même assez déplaisant a voir et donnait une allure et une démarche ridicule a son porteur. En fait, ce costume traditionnel était particulièrement laid!
Le Major Ebola était particulièrement fière de porter cet uniforme en une telle occasion!

[lordmacclem]

Le Duc Macclem ne semble pas quitter les Ombres en avançant vers le Banquet.

Elles semblent se joindre à lui.
Sa Cape Jubba marron flotte doucement derrière lui, longue et étirée couvrant sa haute stature. Elle danse dans les courants d'airs et petit à petit s'éclaire à la vue des Lumières.
Alors qu'il avance l'air froid et contrarié, se dévoile le reste de ce qui lui sert de parure:

Des pieds au cou, il porte une armure sans nulle pareille. l'argent doux scintille doucement quelle que soit la Lumière. Elle est finement dessinée et épouse le contour du corps du Duc à la perfection mais son destin y est enchâssé. L'armure semble déchirée par des pics acérés et crochus mais qui viendraient de l'intérieur. Le métal déchiré mais qui tient toujours de manière solidaire sans laisser voir aucune faille a rougi par endroit.
Le coté martial en est atténué par ces marques de coups dur qui recouvrent cette beauté militaire.

Il n'y a presque aucun ornement.
Le Duc avance voilé comme ceux de son Peuple.
Rien qu'un anneau d'or pend à son coup.
Marque de sa charge, marque de son fléau.
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